Dans un discours prononcé lors des travaux à Bamako du programme de la Coalition islamique militaire contre le terrorisme dans les États du Sahel, le Général de Corps Sadio Camara, ministre malien de la Défense, a réaffirmé l’engagement du Mali dans la lutte contre le terrorisme, le financement du terrorisme et le blanchiment d'argent. La conférence, qui a réuni des délégations internationales, avait pour thème "Les enquêtes financières sur les crimes du financement du terrorisme et du blanchiment d’argent."
Au début de ses propos, le ministre a exprimé au nom du président de la Transition, le Général d'Armée Assimi GOÏTA, et en son propre nom, une chaleureuse bienvenue aux délégations présentes. "Vous êtes ici chez vous en terre sahélienne du Mali", a-t-il déclaré, soulignant l'honneur du pays d’accueillir cette conférence sur un sujet crucial pour la stabilité régionale.
Le ministre a ensuite salué l'initiative de la Coalition islamique militaire de lutte contre le terrorisme, exprimant la reconnaissance du Mali pour cette collaboration internationale essentielle dans la lutte contre les fléaux du blanchiment d'argent et du financement du terrorisme. Il a également remercié le Royaume d’Arabie Saoudite pour son soutien dans la facilitation du travail de la coalition.
Sadio Camara a rappelé que la lutte contre le terrorisme est l'un des défis majeurs auxquels le Mali, le Sahel, et le monde entier sont confrontés. Il a souligné que pour être efficace, cette lutte devait inclure l’attaque des sources de financement des groupes terroristes, qu’il considère comme "le nerf de la guerre." Selon lui, au-delà des attaques directes, le financement du terrorisme et le blanchiment d'argent constituent des menaces insidieuses pour la paix, la stabilité des institutions, et le développement socio-économique.
Le ministre a précisé que le Mali, à travers des textes législatifs comme la loi No 2016-008 du 17 mars 2016, lutte activement contre ces fléaux. Il a également félicité la Cellule nationale de traitement des informations financières CENTIF pour son rôle majeur dans cette lutte.
Malgré ces efforts, le ministre a reconnu que les mécanismes de contrôle et de répression n'ont pas suffi à couper les sources de financement du terrorisme. Il a évoqué les facteurs souvent ignorés dans les discussions multilatérales, notamment la géopolitique complexe et l'hypocrisie de certaines puissances mondiales. "Il souffrent réellement de la violence terrestre qui contrôlent et bénéficient des flux financiers illicites qui entretiennent ces fléaux", a-t-il souligné, dénonçant l'usage stratégique du terrorisme par certaines puissances internationales.
Au début de ses propos, le ministre a exprimé au nom du président de la Transition, le Général d'Armée Assimi GOÏTA, et en son propre nom, une chaleureuse bienvenue aux délégations présentes. "Vous êtes ici chez vous en terre sahélienne du Mali", a-t-il déclaré, soulignant l'honneur du pays d’accueillir cette conférence sur un sujet crucial pour la stabilité régionale.
Le ministre a ensuite salué l'initiative de la Coalition islamique militaire de lutte contre le terrorisme, exprimant la reconnaissance du Mali pour cette collaboration internationale essentielle dans la lutte contre les fléaux du blanchiment d'argent et du financement du terrorisme. Il a également remercié le Royaume d’Arabie Saoudite pour son soutien dans la facilitation du travail de la coalition.
Sadio Camara a rappelé que la lutte contre le terrorisme est l'un des défis majeurs auxquels le Mali, le Sahel, et le monde entier sont confrontés. Il a souligné que pour être efficace, cette lutte devait inclure l’attaque des sources de financement des groupes terroristes, qu’il considère comme "le nerf de la guerre." Selon lui, au-delà des attaques directes, le financement du terrorisme et le blanchiment d'argent constituent des menaces insidieuses pour la paix, la stabilité des institutions, et le développement socio-économique.
Le ministre a précisé que le Mali, à travers des textes législatifs comme la loi No 2016-008 du 17 mars 2016, lutte activement contre ces fléaux. Il a également félicité la Cellule nationale de traitement des informations financières CENTIF pour son rôle majeur dans cette lutte.
Malgré ces efforts, le ministre a reconnu que les mécanismes de contrôle et de répression n'ont pas suffi à couper les sources de financement du terrorisme. Il a évoqué les facteurs souvent ignorés dans les discussions multilatérales, notamment la géopolitique complexe et l'hypocrisie de certaines puissances mondiales. "Il souffrent réellement de la violence terrestre qui contrôlent et bénéficient des flux financiers illicites qui entretiennent ces fléaux", a-t-il souligné, dénonçant l'usage stratégique du terrorisme par certaines puissances internationales.