Lors d'un panel organisé par l'Atlantic Council sur l'engagement économique des États-Unis envers l'Afrique, l'ancien Président sénégalais Macky Sall a exprimé une position claire concernant la relation entre l'Afrique et l'aide au développement.
Selon lui, l'Afrique ne doit plus être perçue sous l'angle de la dépendance à l’aide. « L’Afrique n’est plus dans une perspective de tendre la main. On n’est plus dans une logique d’aide au développement », a-t-il déclaré au Président américain Donald Trump.
L’ex-Président du Sénégal a ajouté que l’aide traditionnelle ne répondait plus aux attentes des Africains, soulignant que l'Afrique, avec sa population jeune et dynamique, ne peut plus se permettre de rester dépendante des aides extérieures. « L’Afrique est trop grande pour dépendre de l’aide. Sa population est grande et jeune pour dépendre de l’aide. Il faut des mécanismes, développer le marché des capitaux sur le continent et développer des joint-ventures. Ce sera gagnant-gagnant. C’est le message que j’aimerais donner à la nouvelle administration Trump », a-t-il précisé.
Cette déclaration fait écho aux récentes décisions prises par le Président américain Donald Trump, qui, après sa réélection en novembre 2024, a mis en œuvre une politique de réduction de l’aide publique américaine. L'une des premières conséquences visibles de cette nouvelle politique a été la suspension de certains programmes, y compris ceux destinés à l'Afrique. Le Sénégal, qui avait signé un accord de 600 millions de dollars avec les États-Unis dans le cadre du « Power Compact » pour soutenir des projets d’électrification, se retrouve désormais dans une situation incertaine.
Le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, a révélé que l'accord avait été bloqué après la prise de décision de l'administration Trump. « Vous avez vu, le Président américain avait promis de suspendre l’aide publique pour voir, dans les trois (3) mois, les programmes qui seront reconduits ou gelés. Au Sénégal, un de nos projets de plus de 500 millions de dollars, est concerné. Le programme concernant l’électrification a été arrêté », a-t-il expliqué le 3 février 2025.
Selon lui, l'Afrique ne doit plus être perçue sous l'angle de la dépendance à l’aide. « L’Afrique n’est plus dans une perspective de tendre la main. On n’est plus dans une logique d’aide au développement », a-t-il déclaré au Président américain Donald Trump.
L’ex-Président du Sénégal a ajouté que l’aide traditionnelle ne répondait plus aux attentes des Africains, soulignant que l'Afrique, avec sa population jeune et dynamique, ne peut plus se permettre de rester dépendante des aides extérieures. « L’Afrique est trop grande pour dépendre de l’aide. Sa population est grande et jeune pour dépendre de l’aide. Il faut des mécanismes, développer le marché des capitaux sur le continent et développer des joint-ventures. Ce sera gagnant-gagnant. C’est le message que j’aimerais donner à la nouvelle administration Trump », a-t-il précisé.
Cette déclaration fait écho aux récentes décisions prises par le Président américain Donald Trump, qui, après sa réélection en novembre 2024, a mis en œuvre une politique de réduction de l’aide publique américaine. L'une des premières conséquences visibles de cette nouvelle politique a été la suspension de certains programmes, y compris ceux destinés à l'Afrique. Le Sénégal, qui avait signé un accord de 600 millions de dollars avec les États-Unis dans le cadre du « Power Compact » pour soutenir des projets d’électrification, se retrouve désormais dans une situation incertaine.
Le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, a révélé que l'accord avait été bloqué après la prise de décision de l'administration Trump. « Vous avez vu, le Président américain avait promis de suspendre l’aide publique pour voir, dans les trois (3) mois, les programmes qui seront reconduits ou gelés. Au Sénégal, un de nos projets de plus de 500 millions de dollars, est concerné. Le programme concernant l’électrification a été arrêté », a-t-il expliqué le 3 février 2025.