Le président ivoirien a haussé le ton face à certains membres de son gouvernement ou des forces de sécurité qui tentent d’intervenir en faveur des suspects actuellement incarcérés.
L’arrestation d’une dizaine d’Ivoiro-libanais, le 17 juillet, suspectés d’acquisition frauduleuse de la nationalité et de trafic de passeports continue de faire grand bruit à Abidjan. Parmi eux figurent certains hommes d’affaires très connectés dans les hautes sphères politiques. Avant de s’envoler à bord de l’Ivoire One pour la France, le 22 juillet, où il effectue une visite privée, Alassane Ouattara a donc recadré certains de ses collaborateurs qui ont tenté de plaider la cause de suspects actuellement incarcérés. D'après "Jeune Afrique" la Société Nationale d'Edition de Documents Administratifs et d'Identification (SNEDAI) est dans le viseur. Pour rappel est une entreprise ivoirienne, créée le 26 octobre 2007. La société SNEDAI est née de l'initiative du fondateur, qui a su identifier le besoin de la Côte d'Ivoire en matière de sécurisation des documents administratifs.
L’arrestation d’une dizaine d’Ivoiro-libanais, le 17 juillet, suspectés d’acquisition frauduleuse de la nationalité et de trafic de passeports continue de faire grand bruit à Abidjan. Parmi eux figurent certains hommes d’affaires très connectés dans les hautes sphères politiques. Avant de s’envoler à bord de l’Ivoire One pour la France, le 22 juillet, où il effectue une visite privée, Alassane Ouattara a donc recadré certains de ses collaborateurs qui ont tenté de plaider la cause de suspects actuellement incarcérés. D'après "Jeune Afrique" la Société Nationale d'Edition de Documents Administratifs et d'Identification (SNEDAI) est dans le viseur. Pour rappel est une entreprise ivoirienne, créée le 26 octobre 2007. La société SNEDAI est née de l'initiative du fondateur, qui a su identifier le besoin de la Côte d'Ivoire en matière de sécurisation des documents administratifs.