L'ancien ministre-conseiller Oumar Sow a été condamné à une peine de quatre mois avec sursis. Il a été jugé ce lundi pour discours contraire aux bonnes mœurs, propos pouvant inciter à la discrimination ethnique et diffusion de fausses nouvelles. D'après nos confrères du quotidien national Le Soleil, le jeune politicien a décidé de mettre de l'eau dans son bissap.
« J’ai deux épouses : l’une est Sérère, l'autre est Lébou. Je n'avais jamais imaginé que mes propos allaient être sortis de leur contexte pour m'atteindre. J'ai pris acte que mes propos ne sont pas bons. La preuve en est que la loi est en train de s'abattre sur moi. Si c'était à refaire, je ne le referais pas. Prochainement, je vais revoir comment formuler mes attaques politiques », déclare Oumar Sow devant la barre.
À noter que le juge a retenu uniquement le chef d'accusation de diffusion de fausses nouvelles et a relaxé Oumar Sow des autres charges. Le parquet avait requis une peine de six mois, dont un ferme, ainsi qu'une amende de 300 000 F CFA.
« J’ai deux épouses : l’une est Sérère, l'autre est Lébou. Je n'avais jamais imaginé que mes propos allaient être sortis de leur contexte pour m'atteindre. J'ai pris acte que mes propos ne sont pas bons. La preuve en est que la loi est en train de s'abattre sur moi. Si c'était à refaire, je ne le referais pas. Prochainement, je vais revoir comment formuler mes attaques politiques », déclare Oumar Sow devant la barre.
À noter que le juge a retenu uniquement le chef d'accusation de diffusion de fausses nouvelles et a relaxé Oumar Sow des autres charges. Le parquet avait requis une peine de six mois, dont un ferme, ainsi qu'une amende de 300 000 F CFA.