Le Premier ministre Ousmane Sonko a présidé la cérémonie de lancement de la phase 2 du Projet d’Appui et de Valorisation des Initiatives Entrepreneuriales des Femmes et des Jeunes (PAVIE 2), marquant une nouvelle étape dans la politique économique inclusive du gouvernement. Devant un parterre de partenaires techniques et financiers, d’acteurs économiques et d’autorités étatiques, il a salué les résultats de la première phase du programme et dévoilé les ambitions de la seconde.
« Aujourd’hui, nous célébrons bien plus qu’un programme. Nous célébrons une vision partagée, un rêve abouti, celui d’un Sénégal audacieux, porté par l’énergie de ses femmes et de ses jeunes », a déclaré Ousmane Sonko dans son allocution d’ouverture.
La première phase du PAVIE, financée à hauteur de 74,4 milliards FCFA (dont 40 milliards par la Banque africaine de développement, 13 milliards par l’Agence française de développement, et 21 milliards par l’État du Sénégal), a permis de financer 24 628 initiatives, générer plus de 93 000 emplois et former 20 327 bénéficiaires. Elle a aussi contribué à l’immatriculation de 6 353 unités économiques, favorisant l’intégration de l’informel dans le tissu productif national.
« Le PAVIE, ce sont aussi ces milliers de femmes et de jeunes de tous les coins du Sénégal, qui ont réussi le pari de l’autonomisation économique et sociale », a souligné le Premier ministre, avant de remercier l’ensemble des partenaires, avec une « mention spéciale à la Banque Africaine de Développement ».
Dotée d’un budget de 107 milliards FCFA, la deuxième phase s’inscrit dans l’Agenda National de Transformation Sénégal 2050, avec trois axes stratégiques : la souveraineté alimentaire, la souveraineté industrielle et la souveraineté technologique.
« Notre pays regorge de talents, d’initiatives et d’une jeunesse ambitieuse. 75 % de la population sénégalaise a moins de 35 ans. Ils sont le moteur de notre croissance économique et les architectes de notre développement », a insisté Ousmane Sonko.
Face aux contraintes majeures de l’entrepreneuriat — informalité, difficultés d’accès au financement, accompagnement technique insuffisant, accès restreint aux marchés —, le chef du gouvernement a indiqué que la DER/FJ constitue « un levier stratégique apte à libérer les énergies entrepreneuriales, à renforcer notre tissu économique et à bâtir une croissance inclusive et durable ».
Le Premier ministre a salué les efforts de territorialisation du programme menés par la Déléguée générale Aïda Mbodj, qui a permis une implantation dans les 46 départements du pays, adaptée aux spécificités locales.
« Parce que nous savons que les défis des entrepreneurs de Podor ne sont pas ceux de Kédougou ou Gossas, que les opportunités à Ziguinchor diffèrent de celles de Matam ou de Pikine », a-t-il expliqué, insistant sur l’importance d’un accompagnement sur mesure.
Le gouvernement prévoit également de renforcer les programmes de formation, en particulier via le service civique professionnalisant, pour permettre aux jeunes de croire en eux-mêmes et de s’engager dans des parcours entrepreneuriaux.
S’adressant aux bénéficiaires, Ousmane Sonko a rappelé la responsabilité qui leur incombe : « Les ressources qui vous sont accordées ne sont ni des dons, ni des subventions, mais des catalyseurs de croissance. Elles impliquent une responsabilité : celle de créer de la valeur, de générer de l’emploi et d’être des modèles pour d’autres générations ».
« Le Sénégal ne se contente plus de décréter son développement : il le construira, avec la volonté de ses citoyens, la vision de ses dirigeants et la force de ses entrepreneurs », a martelé le Premier ministre.
Il a conclu son discours en lançant officiellement le programme : « Je déclare officiellement lancée la phase 2 du Projet d’Appui et de Valorisation des Initiatives Entrepreneuriales des Femmes et des Jeunes (PAVIE 2). Vive l’entrepreneuriat sénégalais ! Vive la jeunesse ! Vive le Sénégal ! »
« Aujourd’hui, nous célébrons bien plus qu’un programme. Nous célébrons une vision partagée, un rêve abouti, celui d’un Sénégal audacieux, porté par l’énergie de ses femmes et de ses jeunes », a déclaré Ousmane Sonko dans son allocution d’ouverture.
La première phase du PAVIE, financée à hauteur de 74,4 milliards FCFA (dont 40 milliards par la Banque africaine de développement, 13 milliards par l’Agence française de développement, et 21 milliards par l’État du Sénégal), a permis de financer 24 628 initiatives, générer plus de 93 000 emplois et former 20 327 bénéficiaires. Elle a aussi contribué à l’immatriculation de 6 353 unités économiques, favorisant l’intégration de l’informel dans le tissu productif national.
« Le PAVIE, ce sont aussi ces milliers de femmes et de jeunes de tous les coins du Sénégal, qui ont réussi le pari de l’autonomisation économique et sociale », a souligné le Premier ministre, avant de remercier l’ensemble des partenaires, avec une « mention spéciale à la Banque Africaine de Développement ».
Dotée d’un budget de 107 milliards FCFA, la deuxième phase s’inscrit dans l’Agenda National de Transformation Sénégal 2050, avec trois axes stratégiques : la souveraineté alimentaire, la souveraineté industrielle et la souveraineté technologique.
« Notre pays regorge de talents, d’initiatives et d’une jeunesse ambitieuse. 75 % de la population sénégalaise a moins de 35 ans. Ils sont le moteur de notre croissance économique et les architectes de notre développement », a insisté Ousmane Sonko.
Face aux contraintes majeures de l’entrepreneuriat — informalité, difficultés d’accès au financement, accompagnement technique insuffisant, accès restreint aux marchés —, le chef du gouvernement a indiqué que la DER/FJ constitue « un levier stratégique apte à libérer les énergies entrepreneuriales, à renforcer notre tissu économique et à bâtir une croissance inclusive et durable ».
Le Premier ministre a salué les efforts de territorialisation du programme menés par la Déléguée générale Aïda Mbodj, qui a permis une implantation dans les 46 départements du pays, adaptée aux spécificités locales.
« Parce que nous savons que les défis des entrepreneurs de Podor ne sont pas ceux de Kédougou ou Gossas, que les opportunités à Ziguinchor diffèrent de celles de Matam ou de Pikine », a-t-il expliqué, insistant sur l’importance d’un accompagnement sur mesure.
Le gouvernement prévoit également de renforcer les programmes de formation, en particulier via le service civique professionnalisant, pour permettre aux jeunes de croire en eux-mêmes et de s’engager dans des parcours entrepreneuriaux.
S’adressant aux bénéficiaires, Ousmane Sonko a rappelé la responsabilité qui leur incombe : « Les ressources qui vous sont accordées ne sont ni des dons, ni des subventions, mais des catalyseurs de croissance. Elles impliquent une responsabilité : celle de créer de la valeur, de générer de l’emploi et d’être des modèles pour d’autres générations ».
« Le Sénégal ne se contente plus de décréter son développement : il le construira, avec la volonté de ses citoyens, la vision de ses dirigeants et la force de ses entrepreneurs », a martelé le Premier ministre.
Il a conclu son discours en lançant officiellement le programme : « Je déclare officiellement lancée la phase 2 du Projet d’Appui et de Valorisation des Initiatives Entrepreneuriales des Femmes et des Jeunes (PAVIE 2). Vive l’entrepreneuriat sénégalais ! Vive la jeunesse ! Vive le Sénégal ! »