A l’occasion de la semaine de l’inclusion financière dans les pays de l’Union économique et monétaire de l’Afrique de l’Ouest (UEMOA), Mme Angélique Manga, Ministre de l'Economie Solidaire et de la Microfinance, a salué la tenue d'une telle rencontre. La ministre a fait savoir que le gouvernement du Sénégal a pris beaucoup de mesures pour faciliter des financements.
Selon la ministre, elle représente un défi majeur pour nos Etats. « L’inclusion financière vise en effet à insérer les non bancarisés dans le système financier formel afin qu’ils aient la possibilité d’accéder aux services financiers de base : épargne, paiement, crédit et assurances. »
L’objectif principal de cette édition 2018 de la semaine de l’inclusion financière est de créer un espace d’échange, de partage et de concertation sur l’inclusion financière, de lancer officiellement la mise en œuvre de la stratégie régionale d’inclusion financière dans l’UEMOA et d’organiser la première réunion du Comité régional de Pilotage.
« Actuellement, dans le monde, environ 2,5 milliards de personnes n’ont pas accès à des services financiers de base et en Afrique subsaharienne, seulement 21% d’adultes sont formellement bancarisés. Certes, dans notre sous-région ouest-africaine, des progrès notables ont été enregistrés à travers notamment le développement et la consolidation de la microfinance et l’expansion fulgurante des systèmes financiers innovants comme la finance numérique. Cependant, en dépit de ces progrès, l’exclusion financière touche une proportion particulièrement élevée de femmes, de jeunes et de très petites entreprises », révèle Angélique Manga, Ministre de l'Economie Solidaire et de la Microfinance.
Le thème retenu pour cette édition : "l’inclusion financière : levier du développement économique et social ". Pour la ministre « il est unanimement admis que l’exclusion financière nuit à la croissance. En effet, l’accès à un financement adapté est une condition du développement d’une économie car il permet aux particuliers de financer leurs projets et aux entreprises d’investir, d’innover et de créer des emplois. En effet, chaque acteur a un rôle à jouer et des responsabilités à assumer en terme de régulation et de stabilité du système, de mise en œuvre d’une réglementation adaptée, de surveillance des flux financiers et de protection et d’éducation des utilisateurs » a-t-elle conclu.
Selon la ministre, elle représente un défi majeur pour nos Etats. « L’inclusion financière vise en effet à insérer les non bancarisés dans le système financier formel afin qu’ils aient la possibilité d’accéder aux services financiers de base : épargne, paiement, crédit et assurances. »
L’objectif principal de cette édition 2018 de la semaine de l’inclusion financière est de créer un espace d’échange, de partage et de concertation sur l’inclusion financière, de lancer officiellement la mise en œuvre de la stratégie régionale d’inclusion financière dans l’UEMOA et d’organiser la première réunion du Comité régional de Pilotage.
« Actuellement, dans le monde, environ 2,5 milliards de personnes n’ont pas accès à des services financiers de base et en Afrique subsaharienne, seulement 21% d’adultes sont formellement bancarisés. Certes, dans notre sous-région ouest-africaine, des progrès notables ont été enregistrés à travers notamment le développement et la consolidation de la microfinance et l’expansion fulgurante des systèmes financiers innovants comme la finance numérique. Cependant, en dépit de ces progrès, l’exclusion financière touche une proportion particulièrement élevée de femmes, de jeunes et de très petites entreprises », révèle Angélique Manga, Ministre de l'Economie Solidaire et de la Microfinance.
Le thème retenu pour cette édition : "l’inclusion financière : levier du développement économique et social ". Pour la ministre « il est unanimement admis que l’exclusion financière nuit à la croissance. En effet, l’accès à un financement adapté est une condition du développement d’une économie car il permet aux particuliers de financer leurs projets et aux entreprises d’investir, d’innover et de créer des emplois. En effet, chaque acteur a un rôle à jouer et des responsabilités à assumer en terme de régulation et de stabilité du système, de mise en œuvre d’une réglementation adaptée, de surveillance des flux financiers et de protection et d’éducation des utilisateurs » a-t-elle conclu.