L'influence néocoloniale de la France en Afrique, notamment dans les pays membres de la Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), est un sujet controversé qui suscite plusieurs critiques. Voici quelques aspects clés :
Héritage Colonial : La France a une longue histoire coloniale en Afrique, ayant dominé près de la moitié des pays africains pendant des siècles. Cette histoire a créé un héritage complexe où les intérêts économiques et politiques français continuent d'influencer ces régions.
Accords Néocoloniaux : Après les ‘indépendances’, la France a maintenu son influence à travers des accords économiques et militaires qui sont souvent perçus comme néocoloniaux. Ces accords incluent le système du franc CFA, qui lie étroitement les économies africaines à celle de la France.
Dépendance Économique : Les pays africains francophones restent fortement dépendants du commerce avec la France et sont souvent limités dans leur capacité à diversifier leurs partenariats commerciaux. Cela renforce le sentiment que leur autonomie économique est restreinte. Et les accords commerciaux sont toujours d’actualité. La France ne se sert-elle pas de ces accords pour maintenir les pays de la zone Franc CFA pour faire leurs chiffres d’affaires ? La réponse à cette question est connue par tous et c’est ce qui pousse cette nouvelle génération au XXIe siècle de prendre à bras le corps le destin de leur pays.
Contrôle Monétaire : Le système du franc CFA oblige ces pays à déposer une partie significative de leurs réserves en banque centrale française, ce qui limite leur capacité à gérer indépendamment leurs politiques monétaires. Et ce système du franc CFA oblige les pays à déposer une grande partie de leurs réserves en banque centrale française, restreignant ainsi leur capacité à gérer leurs propres finances.
Interventionnisme Politique : La diplomatie française est parfois critiquée pour son interventionnisme dans les affaires internes des pays africains, ce qui peut être perçu comme une ingérence néfaste dans leurs processus démocratiques locaux.
Diplomatie Parallèle : Des réseaux informels d'influence politique existent entre Paris et certains dirigeants africains, influençant discrètement les décisions politiques locales sans toujours respecter le cadre formel diplomatique ou démocratique.
En résumé, l'influence néocoloniale française se manifeste principalement par sa présence historique prolongée sur le continent africain ainsi que par ses mécanismes économiques et politiques actuels qui maintiennent une forte interdépendance entre ces pays et elle-même.
Le retournement de costume qu’a fait le Sénégal, le Burkina Faso, le Mali et le Niger, font d’eux des Etats non compris par des marchands de la monnaie et de la mort (oligarchie criminelle). La prise de conscience de cette jeunesse responsable, pousse ces dirigeants à prendre des décisions pour répondre aux aspirations de leurs population.
Sadio SEYDI le Panafricain
Coordinateur communal PASTEF Adéane – realdioby18@gmail.com
Héritage Colonial : La France a une longue histoire coloniale en Afrique, ayant dominé près de la moitié des pays africains pendant des siècles. Cette histoire a créé un héritage complexe où les intérêts économiques et politiques français continuent d'influencer ces régions.
Accords Néocoloniaux : Après les ‘indépendances’, la France a maintenu son influence à travers des accords économiques et militaires qui sont souvent perçus comme néocoloniaux. Ces accords incluent le système du franc CFA, qui lie étroitement les économies africaines à celle de la France.
Dépendance Économique : Les pays africains francophones restent fortement dépendants du commerce avec la France et sont souvent limités dans leur capacité à diversifier leurs partenariats commerciaux. Cela renforce le sentiment que leur autonomie économique est restreinte. Et les accords commerciaux sont toujours d’actualité. La France ne se sert-elle pas de ces accords pour maintenir les pays de la zone Franc CFA pour faire leurs chiffres d’affaires ? La réponse à cette question est connue par tous et c’est ce qui pousse cette nouvelle génération au XXIe siècle de prendre à bras le corps le destin de leur pays.
Contrôle Monétaire : Le système du franc CFA oblige ces pays à déposer une partie significative de leurs réserves en banque centrale française, ce qui limite leur capacité à gérer indépendamment leurs politiques monétaires. Et ce système du franc CFA oblige les pays à déposer une grande partie de leurs réserves en banque centrale française, restreignant ainsi leur capacité à gérer leurs propres finances.
Interventionnisme Politique : La diplomatie française est parfois critiquée pour son interventionnisme dans les affaires internes des pays africains, ce qui peut être perçu comme une ingérence néfaste dans leurs processus démocratiques locaux.
Diplomatie Parallèle : Des réseaux informels d'influence politique existent entre Paris et certains dirigeants africains, influençant discrètement les décisions politiques locales sans toujours respecter le cadre formel diplomatique ou démocratique.
En résumé, l'influence néocoloniale française se manifeste principalement par sa présence historique prolongée sur le continent africain ainsi que par ses mécanismes économiques et politiques actuels qui maintiennent une forte interdépendance entre ces pays et elle-même.
Le retournement de costume qu’a fait le Sénégal, le Burkina Faso, le Mali et le Niger, font d’eux des Etats non compris par des marchands de la monnaie et de la mort (oligarchie criminelle). La prise de conscience de cette jeunesse responsable, pousse ces dirigeants à prendre des décisions pour répondre aux aspirations de leurs population.
Sadio SEYDI le Panafricain
Coordinateur communal PASTEF Adéane – realdioby18@gmail.com