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La Colonisation Sioniste et la Question Nationale Palestinienne (Par Diagne Fodé Roland)

Vendredi 13 Octobre 2023

Le nouvel éveil militaire de la résistance palestinienne que beaucoup croyaient éteinte remet au centre de la géopolitique mondiale la question nationale palestinienne. Toute la résistance palestinienne confondue vient de porter au sein de l’entité colonialiste israélienne la lutte de libération nationale anti-sioniste. La résistance palestinienne intègre toutes les forces politico-militaires parties prenantes du peuple palestinien dont nos camarades du FPLP.

Les opérations militaires de ce 7 octobre 23 de l’ensemble des composantes de la résistance palestinienne en Israël mettent fin à la soi-disant « invincibilité » militaire et à la prétendue « sécurité garantie » de l’État colonisateur israélien. C’est la violence barbare de l’oppresseur qui détermine la riposte violente de sa victime comme le disait fort justement Nelson Mandela. Voilà ce à quoi le monde entier vient d’assister par cette contre-attaque militaire qui sème un désarroi dans les rangs du pouvoir sioniste colonial et ses soutiens impérialistes US et UE.

La prétendue invincibilité sioniste se confronte ainsi à l’extraordinaire volonté du peuple palestinien qui renoue avec la marche vers la fin de l’apartheid que la résistance du peuple sud africain appuyée par la défaite de Cuito Cuanavale infligée en Angola par l’armée populaire du MPLA et la solidarité armée de Cuba socialiste avait ouverte en 1988.

Mettre sous le tapis la cause, les droits et la résistance palestinienne

De Camp David à Oslo puis aux dites « normalisations » des relations entre les royaumes Arabes avec le colonialisme sioniste sous l’égide de l’impérialisme hégémonique US/UE allié des sionistes, l’objectif était d’effacer, voire d’enterrer dans l’oubli du silence la question nationale palestinienne. Israël sûr de son impunité poursuivait pendant ce temps la colonisation violente, le terrorisme colonial, les massacres quotidiens, les crimes contre l’humanité palestinienne. Les multiples résolutions de l’ONU exigeant les droits du peuple national palestinien ont été immergées dans l’omerta coupable de la trahison de la résistance palestinienne rendue ainsi, malgré ses soubresauts fréquents, temporairement inaudible.

L’humanité progressiste, les mouvements ouvriers communistes, les patriotes souverainistes, les indépendantistes anti-colonialistes, les panafricanistes, les panarabistes, les anti-impérialistes ont été désorientés et désarmés par la défaite de l’URSS et du camp socialiste d’Europe et la destruction successive des États souverainistes laïcs de l’Afghanistan, à l’Irak, la Libye, la Yougoslavie.

Mais la remise en cause de l’hégémonisme prédateur impérialiste et sioniste par l’unité d’action défensive stratégique, politico-économique en cours des pays rescapés du camp socialiste (Chine, Vietnam, Corée du Nord, Cuba, Laos) et des pays capitalistes non encore impérialistes (Russie, Inde, Brésil) favorise les échecs françafricains, eurafricains et usafricains en Syrie et dans le Sahel de la Centrafrique, Mali, Burkina, Niger face aux volontés souverainistes.

La question nationale palestinienne commence à revenir en force dans les prises de positions des Etats souverainistes opposés à l’unilatéralisme dominateur de l’Occident impérialiste, y compris à l’Assemblée Générale de l’ONU. C’est toutes les tentatives hypocrites d’enfouissement de la cause et de la résistance continue du peuple Palestinien qui volent en éclat devant l’action militaire de toutes les composantes du mouvement national anticolonialiste pour la libération de la Palestine à partir de Gaza martyr et héroïque. La contre-attaque militaire est révélatrice de l’unité dans l’action de l’ensemble de toutes les composantes du mouvement de libération nationale palestinienne.

La propagande sioniste et impérialiste prise en flagrant délit d’escamotage des droits du peuple palestinien à l’autodétermination tente en vain de réduire sa résistance au seul Hamas, instrumentalisant en cela sa nature islamiste pour l’identifier à Daesh ou El Qaïda ou Al Nostra dont le social démocrate français, Laurent Fabius, disait qu’il « fait du bon boulot » (sic!) contre l’État laïc syrien. La religion « opium du peuple » (Karl Marx) qui engendre Daesh, Al Nostra, Al Qaïda ne peut et ne doit être l’arbre qui cache la religion « soupir des peuples » (Karl Marx) en quête de leur indépendance nationale.

Et leur mot clef pour semer la confusion est « terrorisme » dont disait le dirigeant algérien de la guerre de libération nationale, Larbi Ben Mehdi, « donnez nous vos chars et vos avions, nous vous donnerons nos couffins » dans lesquels les indépendantistes femmes algériennes mettaient les bombes pour riposter aux massacres coloniaux et défaire la barbarie de la colonisation française. Les nazis occupants de la France disaient absolument les mêmes insanités contre la résistance antifasciste française dirigée par le Parti Communiste et la CGT en qualifiant de « terroristes » les Francs Tireurs Partisans (FTP) et FTP-MOI (Main d’œuvre Immigrée) des Tiémoko Garang Kouyaté, Manouchian, Politzer, colonel Fabien, les parachutés soviétiques en France, des Goumiers, Spahis, Tirailleurs, etc.

L’hystérie ensauvagée tyrannique des médias des milliardaires françafricains, eurafrricains, usafricains et sionistes est une manifestation de la déshumanisation inhérente au capitalisme impérialiste colonialiste qui enfante inévitablement racisme, fascisme et guerres. Le fanatisme colonialiste suprémaciste dont ces médias font preuve est en réalité partie prenante de la stratégie qui consiste à substituer à « l’ennemi communiste » d’antan un nouvel « ennemi religieux, culturel, civilisationnel ». Les puissances hégémoniques du capitalisme impérialiste fabrique ainsi, après les avoir utilisés contre le communisme, « l’ennemi terroriste  islamiste » comme idiots utiles dans leur stratagème du « choc et des guerres des religions, des cultures, des civilisations ». C’est une construction culturaliste qui essentialise identitairement et divise la victime de leur exploitation (l’ouvrier, les classes laborieuses) et de leur oppression (les peuples dominés). Ce suprémacisme culturaliste affublé très souvent d’une appropriation arrogante fanfaronne de « l’universalisme » dénote la décadence du capitalisme à son stade suprême l’impérialisme.

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Vers un génocide sioniste à Gaza

Les dirigeants sionistes déclarent durcir brutalement « le blocus total sur le gaz, l’électricité, la nourriture, l’eau » aux plus de 2 millions d’habitants dans cette prison à ciel ouvert de 350 km² tout en opérant des bombardements aériens et navals aveugles touchant les civils, enfants, femmes, vieillards, les hôpitaux, les écoles, les mosquées, les maisons, etc. C’est cette punition collective criminelle que les impérialistes nomment « Israël a droit à sa défense » alors que, pour ne citer que cela, depuis janvier de cette année plus de 250 Palestiniens ont été assassinés sans oublier les bombardements réguliers quasi annuels de Gaza qui tuent par milliers les familles, les multiplications à l'infini des colonies en Cisjordanie, les profanations de la mosquée Al Aqsa, les expulsions des Palestiniens de leurs maisons à Jérusalem et les milliers de prisonniers qui croupissent sans jugement dans les geôles israéliennes, y compris les enfants , etc.

Cette barbarie coloniale sioniste a été signée publiquement par le chef d’état major de l’armée israélienne traitant les Palestiniens « d’animaux » pour justifier l’intolérable « blocus » dont l'objectif est d'affamer et d'assoiffer les populations de Gaza.

 

Le sionisme est une colonisation de peuplement 
Trois exemples de colonisations de peuplement ont caractérisé le système colonial mondial :

- Le continent américain, notamment les USA où le génocide a permis le « grand remplacement » des populations autochtones amérindiennes par des populations européennes complétées par les esclaves noirs et les coolies asiatiques indiens et chinois, ce que la série filmée intitulée « Exterminez les tous » du cinéaste Raoul Peck a bien illustré – l’Afrique du Sud et l’Algérie où des populations européennes ont été implantées pour occuper les zones dites « utiles », voire devenir ouvriers ou petits agriculteurs pendant que les populations autochtones ont été reléguées dans les zones dites « inutiles » ou dans des ghettos urbains comme main d’œuvre taillable et corvéable à merci – Israël où les sionistes épurent ethniquement et religieusement la Palestine dans l’objectif du « grand Israël » qui fait de cet Etat le seul au monde qui ne se reconnaît pas de frontières définies.

Aux USA et en Afrique du Sud, les luttes contre la ségrégation raciale sans éradiquer le racisme ont débouché sur le principe d’un humain = un bulletin de vote. En Algérie, c’est le colonialisme français qui a ré-importé les « pieds noirs » (Européens nés en Afrique) et les Harkis (Algériens collabos). En Palestine occupée, les sionistes ont fondé leur État religieux et ethnique tout en niant par le terrorisme d'Etat quotidien aux Palestiniens le droit d’avoir le leur conformément aux multiples résolutions de l’ONU.

Le sionisme définit sa colonisation de la Palestine comme celle du « peuple élu pour une terre sans peuple ». Voyez vous même ces citations des dirigeants sionistes de droite et de gauche tirées du journal français Médiapart : « Discours de David Ben Gourion en 1938, cité dans Simha Flapan, «Zionism and the Palestinians», 1979 : «Un État Juif partiel n'est pas une fin, mais seulement un début. Je suis certain que nous ne pourrons pas être empêchés de coloniser d'autres parties du pays et de la région » avant d’ajouter «Entre nous, il doit être clair qu'il n'y a pas de place pour deux peuples dans ce pays... Il n'y a pas d'autre solution que de transférer les Arabes dans les pays voisins, de les transférer tous; pas un village, pas une tribu ne doit subsister »; Moshé Shertok [Sharett], ministre israélien des Affaires étrangères, dans une lettre à Goldmann, 15 juin 1948 :«Je ne connais pas cette chose appelée Principes Internationaux. Je jure que je brûlerai tout enfant palestinien qui sera né dans ce secteur. La femme palestinienne et son enfant est plus dangereuse que l'homme, parce que l'existence des enfants palestiniens implique que des générations continueront, mais l'homme cause un danger plus limité » ; Golda Meir, Premier Ministre israélien : «Comment pouvons-nous rendre les Territoires occupés? Il n'y a personne à qui les rendre »; Ariel Sharon, dans une interview avec le Général Ouze Merham en 1956 :«Je jure que si j'étais juste un civil israélien et que je rencontre un Palestinien, je le brûlerais et je le ferais souffrir avant de le tuer. J'ai tué 750 Palestiniens d'un seul coup (à Rafah en 1956). Je voulais encourager mes soldats à violer les filles arabes, car la femme palestinienne est une esclave pour les Juifs, et nous leur faisons de toute façon ce que nous voulons et personne ne nous dit ce que devons faire, mais nous disons aux autres ce qu'ils doivent faire » ; Abba Eban, ministre israélien des Affaires étrangères, devant l'Assemblée des Nations Unies le 4 juillet 1967 :«Nous devons tout faire pour nous assurer qu'ils [les Palestiniens] ne reviendront jamais dans leurs maisons. (...) Les vieux mourront et les jeunes oublieront ». Qui peut encore douter du caractère génocidaire du projet colonial sioniste ?

 
Le sionisme et l’État israélien sont des produits du colonialisme impérialiste
Vers la fin du 19éme siècle, le capitalisme naissant, après avoir renversé le mode de production féodal à l’intérieur des États devenus bourgeois, évolue vers son stade suprême l’impérialisme. Le charbon, principale énergie de base jusqu’à lors du développement des capitalismes nationaux est en passe, avec le moteur à explosion et l’automobile, de céder peu à peu la place au pétrole puis au gaz comme source principale d’énergie. Le capitalisme US montant à un sous-sol qui en regorge pendant que les impérialistes européens par la colonisation s’en emparent d’abord dans le moyen-orient puis ailleurs.

Tel est le facteur économique dans un contexte d’antisémitisme européen qui est à la base de la naissance du projet sioniste peu à peu intégré dans la stratégie de mainmise coloniale puis néocoloniale sur le pétrole puis le gaz par les firmes monopolistes des puissances impérialistes anglo-franco-US. Impérialistes et sionistes vont progressivement converger vers des intérêts communs. C’est ainsi qu’est jeté sur des fonds baptismaux au congrès de Bâle en 1896 le mouvement sioniste se fixant comme projet la création de « l’État juif » (titre d’un ouvrage de Théodore Herlz).

A partir du démembrement de l’empire ottoman suite à la première guerre impérialiste mondiale, le protectorat colonial anglais va peu à peu intégrer par la déclaration Balfour le « foyer national juif » dans son projet d’accaparement des puits de pétrole.

Le génocide des Juifs par les nazis sera instrumentalisé par les sionistes en utilisant des méthodes terroristes et l’argent pour lancer la colonisation de peuplement de la Palestine.

En 1947, le colonisateur britannique et le nouvel impérialisme hégémonique US vont imposer la « séparation » de la Palestine en « territoire juif et arabe » que les sionistes vont utiliser pour proclamer « l’État juif » aussitôt prolongé par une épuration ethnique anti-palestinienne en 1948, répétée systématiquement en 1966, puis en 1973 et cela jusque de nos jours.

Le sentiment de culpabilité européen a été manipulé par les sionistes pour ainsi devenir une tête de pont de l'impérialisme au moyen-orient et du système colonial mondial pour obtenir la création de cette colonie de peuplement juif. 

Cette « culpabilité » bourgeoise hypocrite aura une influence jusque dans le mouvement communiste qui se traduira par le vote de l’URSS pour la partition de la Palestine, étape pour les sionistes vers la proclamation de « l’État juif » ethniquement et religieusement « pur ».

Rappelons à ce propos qu’un des aspects de la propagande impérialiste et sioniste contre « le communisme stalinien » est d’avoir présenté la dénonciation stalinienne du « complot des blouses blanches » comme « antisémite ». Ce combat politique de classe contre le sionisme interne, agent de l’impérialisme US contre le socialisme et l’opposition internationaliste à la colonisation sioniste extérieure fut exprimée par Staline faisant remarquer l’existence du Birobidjan, cet Oblast autonome administrativement juif en URSS contre ses détracteurs révisionnistes de droite et de gauche au sein même du PCUS.

Force est de reconnaître que cette bataille idéologique contre le révisionnisme de droite et de gauche fut perdue par Staline avec le vote à l'ONU pour la "partition" tout comme celle qu’il mena dans ses derniers écrits sur « les problèmes économiques du socialisme et la linguistique » entre 1948 et 1953, date de son décès.

 

La Palestine est le symbole de la nécessité d’en finir avec les dernières colonies
Les révolutions bourgeoises anti-féodales en Europe ont proclamé l’égalité formelle en droit et en dignité des humains en renversant les monarchies absolues de droit divin superstructure forgée par les noblesses, l’aristocratie. L’Etat féodal était à la fois temporel et religieux. Ce faisant le capitalisme national des pays Européens, tout en libérant à l’intérieur le paysan du monopole de la propriété foncière l’a transformé en ouvrier contraint de vendre sa force de travail au patron propriétaire des entreprises et a mis sous son joug exploiteur et oppresseur des peuples entiers pour y piller les matières premières dont il a besoin pour augmenter ses profits. Cett oppression nationale à l'échelle mondiale pose la question essentielle, base de tout internationalisme conséquent, qu’en plus des humains individuels « les peuples sont aussi libres et égaux en droit et en dignité ».

Après avoir formellement séparé l’État de la religion contre la monarchie nobiliaire, la bourgeoisie impérialiste pour les besoins du profit maximum à l’échelle mondiale s’est alliée avec les théocraties des pétro-dollars et le sionisme qui, quoi qu’on dise, est fortement imprégné de la croyance abrutissante que « le peuple juif est élu pour une terre sans peuple ». En plus, Israël a la fonction de tête de pont de l’Occident impérialiste dans une région bourrée de pétrole et de gaz convoités par les multinationales impérialistes des hydrocarbures.

Au XXéme siècle, l’Afrique du Sud anti-apartheid et la Palestine anti-sioniste ont été les deux symboles anti-colonialistes mondialement portés par les peuples opprimés en lutte et les mouvements ouvriers communistes. L’Afrique du Sud ayant obtenu par la lutte l’abolition de l’apartheid politique, il reste la Palestine qui doit dé-sioniser, donc décoloniser sans oublier les colonies en lutte : le Sahara du Polisario, la Kanaky, les Antilles, et l’exigence montante de la fin du néocolonialisme.

Il va y avoir un avant fait d’échec du stratagème impérialo-sioniste d'ensevelissement de la question nationale palestinienne et un après 7 octobre 23 parce que comme le déclare fort justement le Parti Communiste d’Israël (PC) et Hadash ( Front démocratique pour la paix et l’égalité ) : « Le Premier ministre israélien dit « nous sommes en guerre » après les attaques du Hamas par « terre, air et mer ». Il précise : il ne s’agit pas simplement d’une opération, c’est une guerre et ce criminel qui a tout fait pour en arriver là à l’instar des autres impérialistes veut profiter de l’occasion pour éradiquer définitivement le peuple palestinien quitte à détruire son propre peuple, le peuple israélien qu’il n’a cessé de limiter au seul peuple juif. La démocratie pour les juifs, la prison pour les autres. C’est Netanyahou qui après Begin en est le fleuron, celui qui a porté jusqu’à l’incandescence la haine comme seule identité juive et il a eu des soutiens de plus en plus larges, de plus en plus irresponsables qui se sont présentés comme les seuls défenseurs des juifs. Cette corruption identitaire s’est crue tout permis dans le contexte du pseudo triomphe du capitalisme et de son bras armé, l’impérialisme occidental, avec les USA et l’OTAN. Aujourd’hui alors que nous assistons à un basculement historique avec la fin de la militarisation du dollar ces explosions se multiplient sur toute la planète ».

C’est ce « tout permis » de tuer qui met le sionisme au pied du mur de sa nature véritable viscéralement colonialiste exterminateur et fasciste qui transparaît déjà dans ce déluge des bombes sur Gaza martyr qui fait dire au Parti Communiste et Hadash qu’« Alors que la résistance palestinienne affronte ce gouvernement criminel d’extrême-droite, il est essentiel que les internationalistes du monde entier s’expriment, se mobilisent et agissent pour dénoncer les États-Unis, y compris les États de l’UE, la Grande-Bretagne et toutes les puissances complices de ce qui se passe depuis tant d’années et qui a fait qu’en Israël l’extrême-droite se soit crue de plus en plus protégée. Comme partout dans le monde, les 3,8 milliards de dollars d’aide militaire américaine chaque année, la propagande impérialiste qui jour après jour se déverse dans notre presse et qui crée de fait les conditions de l’injustice, allant jusqu’à soutenir des régimes ouvertement nazis et corrompus comme ceux de Zelensky en Ukraine ou des tortionnaires en Amérique du sud, représente-t-elle réellement ce qui va vers la paix ? ».

Tout comme la Chine, la Corée du nord, l’Algérie, le Vietnam, Cuba, les colonies portugaises d’Afrique (Guinée Bissau, Angola, Mozambique), l’Afrique du Sud, la Palestine vivra et vaincra.

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