Étudiant en Master, Louis Esono a comparu, ce mercredi, devant la barre du Tribunal des flagrants délits de Dakar pour vol et accès frauduleux dans un système informatique. Il est accusé d'avoir volé les frais de scolarité de sa petite- amie étudiante, Sylvia Mbainodj.
Entre Sylvia Mbainodji et Louis Esono, la relation n'est plus au beau fixe. Après un an à filer le parfait amour, leur histoire s'est terminée en queue de poisson. La jeune fille de 22 ans nourrit désormais une haine viscérale à l'endroit de son petit-ami qu'elle accuse de lui avoir soutiré la somme de 1,650 million de FCfa. Un montant destiné à payer ses frais de scolarité en 4° année de Médecine.
Face au Juge, Sylvia, partie civile dans cette affaire, est revenue sur les faits. Il ressort de ses déclarations que, le 8 décembre dernier, Louis est venu lui rendre visite à cours de leur discussion, Sylvia son appartement sis à Fass. Au fait savoir à son petit-ami qu'elle doit se rendre à la banque pour faire un retrait pour pouvoir compléter la somme de 1,450 million de FCfa qu'elle garde dans son sac. L'argent est destiné à payer sa scolarité. Le lendemain, elle se rend donc à la banque pour faire le retrait. Un jour après, la partie civile recevait la visite du prévenu. «J'étais sous la douche, il est rentré et s'est dirigé directement dans ma chambre. Après ma douche, je l'ai rejoint et nous sommes restés en- semble jusqu'aux environs de minuit», explique Sylvia.
Le lendemain, alors qu'elle est sur le point de sortir pour l'école, elle ne gent. Elle mutra son apparte parvient plus à retrouver son ar- ment sens dessus-dessous, à la recherche de l'argent de sa scola- rité. En vain. Désemparée, elle va s'en ouvrir à son copain qui la rassure. «Sûrement, l'argent est égaré quelque part», lui dit-elle. La jeune femme commence à avoir des doutes lorsqu'elle constate un envoi frauduleux de 30 000 FCfa sur son compte contacte lui révèle que le destina- Wave. Le service client qu'elle taire est un certain Louis. Quand elle confronte ce dernier, il reconnait le retrait, même s'il se dit les Trop tard pour Sylvia qui n'a plus avoir remboursés le lendemain. soupçonne désormais de lui avoir confiance en son petit-ami et le D'autant plus que, vérifications -dérobé les frais de sa scolarité. faites, Louis n'est pas à son coup d'autres transferts frauduleux d'essai. «J'ai réalisé qu'il avait fait dans mon compte. Je détiens toutes les preuves», charge-t-elle. Mieux, selon toujours Sylvia, dans la semaine où son argent a disparu
Louis s'est payé des vêtements et des chaussures. Il ultra nouveau téléphone portable, multipliait aussi les sorties en boite et dans les restaurants. Autant de preuves qui mèneront le couple à la barre.
Attrait pour vol et accès frauduleux dans un système informa tique, Louis a continué à nier le faits. Le jour où l'argent a de sa seconde petite-amie a disparu, dit-il sans ciller, il était avec ,il était avec sa seconde petite amie
La partie civile a réclamé la somme de 3 millions à titre de domages et interets. Le procureur de la république a requis l'application. La défense a plaide pour la relaxe. Rendant son verdict, le tribunal a relaxé louis de faits de vol mais l'a déclaré coupable d'accès frauduleux dans un système informatique d assortis de sursis. Il devra payer l'a ainsi condamné à deux m à la plaignante 200 mille FCS pour la réparation du préjudice
Entre Sylvia Mbainodji et Louis Esono, la relation n'est plus au beau fixe. Après un an à filer le parfait amour, leur histoire s'est terminée en queue de poisson. La jeune fille de 22 ans nourrit désormais une haine viscérale à l'endroit de son petit-ami qu'elle accuse de lui avoir soutiré la somme de 1,650 million de FCfa. Un montant destiné à payer ses frais de scolarité en 4° année de Médecine.
Face au Juge, Sylvia, partie civile dans cette affaire, est revenue sur les faits. Il ressort de ses déclarations que, le 8 décembre dernier, Louis est venu lui rendre visite à cours de leur discussion, Sylvia son appartement sis à Fass. Au fait savoir à son petit-ami qu'elle doit se rendre à la banque pour faire un retrait pour pouvoir compléter la somme de 1,450 million de FCfa qu'elle garde dans son sac. L'argent est destiné à payer sa scolarité. Le lendemain, elle se rend donc à la banque pour faire le retrait. Un jour après, la partie civile recevait la visite du prévenu. «J'étais sous la douche, il est rentré et s'est dirigé directement dans ma chambre. Après ma douche, je l'ai rejoint et nous sommes restés en- semble jusqu'aux environs de minuit», explique Sylvia.
Le lendemain, alors qu'elle est sur le point de sortir pour l'école, elle ne gent. Elle mutra son apparte parvient plus à retrouver son ar- ment sens dessus-dessous, à la recherche de l'argent de sa scola- rité. En vain. Désemparée, elle va s'en ouvrir à son copain qui la rassure. «Sûrement, l'argent est égaré quelque part», lui dit-elle. La jeune femme commence à avoir des doutes lorsqu'elle constate un envoi frauduleux de 30 000 FCfa sur son compte contacte lui révèle que le destina- Wave. Le service client qu'elle taire est un certain Louis. Quand elle confronte ce dernier, il reconnait le retrait, même s'il se dit les Trop tard pour Sylvia qui n'a plus avoir remboursés le lendemain. soupçonne désormais de lui avoir confiance en son petit-ami et le D'autant plus que, vérifications -dérobé les frais de sa scolarité. faites, Louis n'est pas à son coup d'autres transferts frauduleux d'essai. «J'ai réalisé qu'il avait fait dans mon compte. Je détiens toutes les preuves», charge-t-elle. Mieux, selon toujours Sylvia, dans la semaine où son argent a disparu
Louis s'est payé des vêtements et des chaussures. Il ultra nouveau téléphone portable, multipliait aussi les sorties en boite et dans les restaurants. Autant de preuves qui mèneront le couple à la barre.
Attrait pour vol et accès frauduleux dans un système informa tique, Louis a continué à nier le faits. Le jour où l'argent a de sa seconde petite-amie a disparu, dit-il sans ciller, il était avec ,il était avec sa seconde petite amie
La partie civile a réclamé la somme de 3 millions à titre de domages et interets. Le procureur de la république a requis l'application. La défense a plaide pour la relaxe. Rendant son verdict, le tribunal a relaxé louis de faits de vol mais l'a déclaré coupable d'accès frauduleux dans un système informatique d assortis de sursis. Il devra payer l'a ainsi condamné à deux m à la plaignante 200 mille FCS pour la réparation du préjudice