Nicolas Sarkozy a bénéficié du régime de la libération conditionnelle qu'il avait demandée en raison de son âge.
Le parquet de Paris a annoncé ce jeudi 15 mai le retrait du bracelet électronique de l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy, condamné à un an de prison ferme dans l’affaire dite « des écoutes ». Il a obtenu, au titre de son âge, une libération conditionnelle après un peu plus de trois mois de bracelet électronique.
Le régime de libération conditionnelle comporte les obligations de solliciter l’autorisation préalable du juge d’application des peines (JAP) « pour tout déplacement de plus de 15 jours et pour tout déplacement à l’étranger », de « répondre aux convocations » du JAP et de « recevoir les visites du service pénitentiaire d’insertion et de probation ». Son entourage a indiqué jeudi que Nicolas Sarkozy travaillait à son bureau, à Paris.
Une décision de justice attendue pour une autre affaire
Le bracelet électronique avait été posé vendredi 7 février. Nicolas Sarkozy avait été condamné définitivement en décembre par la Cour de cassation à un an de prison ferme dans l’affaire dite « des écoutes » pour corruption et trafic d’influence. Sa peine avait été aménagée, lui permettant de bénéficier du bracelet électronique. Il avait l’autorisation de s’absenter de son domicile entre 8 h et 20 h.
Nicolas Sarkozy attend par ailleurs la décision de la justice dans l’affaire du financement libyen présumé de sa campagne de 2007. Elle doit être rendue le 25 septembre. Sept ans de prison ferme, 300 000 € d’amende et cinq ans d’inéligibilité ont été requis par le ministère public.
Le parquet de Paris a annoncé ce jeudi 15 mai le retrait du bracelet électronique de l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy, condamné à un an de prison ferme dans l’affaire dite « des écoutes ». Il a obtenu, au titre de son âge, une libération conditionnelle après un peu plus de trois mois de bracelet électronique.
Le régime de libération conditionnelle comporte les obligations de solliciter l’autorisation préalable du juge d’application des peines (JAP) « pour tout déplacement de plus de 15 jours et pour tout déplacement à l’étranger », de « répondre aux convocations » du JAP et de « recevoir les visites du service pénitentiaire d’insertion et de probation ». Son entourage a indiqué jeudi que Nicolas Sarkozy travaillait à son bureau, à Paris.
Une décision de justice attendue pour une autre affaire
Le bracelet électronique avait été posé vendredi 7 février. Nicolas Sarkozy avait été condamné définitivement en décembre par la Cour de cassation à un an de prison ferme dans l’affaire dite « des écoutes » pour corruption et trafic d’influence. Sa peine avait été aménagée, lui permettant de bénéficier du bracelet électronique. Il avait l’autorisation de s’absenter de son domicile entre 8 h et 20 h.
Nicolas Sarkozy attend par ailleurs la décision de la justice dans l’affaire du financement libyen présumé de sa campagne de 2007. Elle doit être rendue le 25 septembre. Sept ans de prison ferme, 300 000 € d’amende et cinq ans d’inéligibilité ont été requis par le ministère public.