En visite dans la ville de Goma, l’ancien président de la République démocratique du Congo, Joseph Kabila Kabange, a reçu ce samedi une délégation de représentantes d’associations féminines du Nord-Kivu, dans un contexte toujours tendu marqué par les violences à répétition dans l’est du pays.
C’est avec gravité et sincérité que ces femmes, venues de plusieurs territoires de la province, ont pris la parole devant l’ancien chef de l’État pour exprimer leurs préoccupations majeures. Dans leurs discours, elles ont abordé trois piliers de leurs inquiétudes actuelles : la sécurité, la gouvernance et l’espérance.
« Elles m’ont parlé avec la force et la clarté des mères de ce pays », a confié Joseph Kabila à l’issue de l’échange. « Elles m’ont dit leur inquiétude face à la crise sécuritaire, leur lassitude face à l’instabilité politique, et leur espérance, malgré tout. »
Dans cette région meurtrie par des années de conflit armé, les voix des femmes portent une expérience unique, mêlant résilience, souffrance et responsabilité communautaire. Certaines ont évoqué les conséquences directes des affrontements : déplacements massifs de populations, viols comme arme de guerre, perte de moyens de subsistance, et absence de protection durable.
D’autres ont mis l’accent sur la nécessité d’un dialogue politique réel, inclusif et efficace. Elles ont rappelé que les femmes, souvent reléguées à la marge des négociations, restent pourtant les piliers de la survie quotidienne dans les zones les plus affectées.
À ces préoccupations, Joseph Kabila a répondu sans détour. « Je les ai écoutées avec respect. Je leur ai répondu avec franchise », a-t-il déclaré, avant de réaffirmer son engagement personnel en faveur de la paix et de la stabilité dans le pays.
« Mon engagement reste inchangé : servir la paix, défendre la stabilité, protéger la dignité du peuple congolais. Tant que ce pays souffre, je ne me tairai pas. »
Cette déclaration, qui sonne comme un avertissement mais aussi comme une promesse, n’a pas manqué de retenir l’attention dans un climat politique où de nombreuses voix s’interrogent sur le rôle futur de l’ancien président dans la vie publique congolaise.
Les représentantes des associations féminines, elles, disent espérer des actes forts dans les semaines à venir, et demandent à tous les responsables congolais de traduire les paroles en décisions concrètes pour alléger les souffrances des populations.
C’est avec gravité et sincérité que ces femmes, venues de plusieurs territoires de la province, ont pris la parole devant l’ancien chef de l’État pour exprimer leurs préoccupations majeures. Dans leurs discours, elles ont abordé trois piliers de leurs inquiétudes actuelles : la sécurité, la gouvernance et l’espérance.
« Elles m’ont parlé avec la force et la clarté des mères de ce pays », a confié Joseph Kabila à l’issue de l’échange. « Elles m’ont dit leur inquiétude face à la crise sécuritaire, leur lassitude face à l’instabilité politique, et leur espérance, malgré tout. »
Dans cette région meurtrie par des années de conflit armé, les voix des femmes portent une expérience unique, mêlant résilience, souffrance et responsabilité communautaire. Certaines ont évoqué les conséquences directes des affrontements : déplacements massifs de populations, viols comme arme de guerre, perte de moyens de subsistance, et absence de protection durable.
D’autres ont mis l’accent sur la nécessité d’un dialogue politique réel, inclusif et efficace. Elles ont rappelé que les femmes, souvent reléguées à la marge des négociations, restent pourtant les piliers de la survie quotidienne dans les zones les plus affectées.
À ces préoccupations, Joseph Kabila a répondu sans détour. « Je les ai écoutées avec respect. Je leur ai répondu avec franchise », a-t-il déclaré, avant de réaffirmer son engagement personnel en faveur de la paix et de la stabilité dans le pays.
« Mon engagement reste inchangé : servir la paix, défendre la stabilité, protéger la dignité du peuple congolais. Tant que ce pays souffre, je ne me tairai pas. »
Cette déclaration, qui sonne comme un avertissement mais aussi comme une promesse, n’a pas manqué de retenir l’attention dans un climat politique où de nombreuses voix s’interrogent sur le rôle futur de l’ancien président dans la vie publique congolaise.
Les représentantes des associations féminines, elles, disent espérer des actes forts dans les semaines à venir, et demandent à tous les responsables congolais de traduire les paroles en décisions concrètes pour alléger les souffrances des populations.