Khady Thiam, est femme d’affaires, opérant dans le commerce à crédit en ligne, a été arrêtée par la Division spéciale de cybersécurité et placée sous mandat de dépôt. Elle est accusée de collecte et de publication illicite de données de clientes en défaut de paiement. Elle sera jugée lundi devant le tribunal des flagrants délits de Dakar.
Face aux enquêteurs, la suspecte a reconnu avoir publié les images de ses clientes, mais défend sa bonne foi en soulignant que ces actions étaient conformes aux conditions de leur contrat. « Je suis l’auteur des publications, mais elles ont été faites après le consentement des personnes ayant adhéré à mes services de vente à crédit et qui n’ont pas respecté les délais de paiement préalablement fixés », a-t-elle expliqué.
La femme d’affaires a ajouté qu’avant toute publication, elle avertissait les clientes que leurs images pourraient être partagées si elles ne respectaient pas les conditions de paiement. Elle a également précisé qu’elle offrait parfois des délais supplémentaires et que les clientes avaient la possibilité de restituer les produits en cas de difficulté à régler leurs dettes. Elle a affirmé que dans la plupart des cas, c’est seulement après la publication de leurs images que les clientes réagissaient.
En réponse à ses accusations, la femme d’affaires a expliqué qu'elle ne savait pas que ces publications pouvaient avoir des conséquences légales et a insisté sur le fait qu’elle demandait à chaque cliente de lire attentivement la décharge avant de signer. Elle a ajouté : « Si je savais que cet acte était répréhensible, je ne l’aurais jamais fait. Je considère que le contrat signé suffisait pour acter le consentement ».
L’affaire, qui a suscité une vive réaction, met en évidence les risques liés à l’utilisation abusive des réseaux sociaux dans le cadre des transactions commerciales.
Face aux enquêteurs, la suspecte a reconnu avoir publié les images de ses clientes, mais défend sa bonne foi en soulignant que ces actions étaient conformes aux conditions de leur contrat. « Je suis l’auteur des publications, mais elles ont été faites après le consentement des personnes ayant adhéré à mes services de vente à crédit et qui n’ont pas respecté les délais de paiement préalablement fixés », a-t-elle expliqué.
La femme d’affaires a ajouté qu’avant toute publication, elle avertissait les clientes que leurs images pourraient être partagées si elles ne respectaient pas les conditions de paiement. Elle a également précisé qu’elle offrait parfois des délais supplémentaires et que les clientes avaient la possibilité de restituer les produits en cas de difficulté à régler leurs dettes. Elle a affirmé que dans la plupart des cas, c’est seulement après la publication de leurs images que les clientes réagissaient.
En réponse à ses accusations, la femme d’affaires a expliqué qu'elle ne savait pas que ces publications pouvaient avoir des conséquences légales et a insisté sur le fait qu’elle demandait à chaque cliente de lire attentivement la décharge avant de signer. Elle a ajouté : « Si je savais que cet acte était répréhensible, je ne l’aurais jamais fait. Je considère que le contrat signé suffisait pour acter le consentement ».
L’affaire, qui a suscité une vive réaction, met en évidence les risques liés à l’utilisation abusive des réseaux sociaux dans le cadre des transactions commerciales.