Le président de la République démocratique du Congo, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, a livré un témoignage sans détour sur l’état de l’armée congolaise à son arrivée au pouvoir, tout en mettant en lumière les réformes engagées pour restaurer la dignité et améliorer les conditions de vie des militaires et de leurs familles.
S’exprimant face à la jeunesse, le Chef de l’État est revenu sur une situation qu’il qualifie lui-même de dramatique. « Lorsque je suis arrivé à la tête de ce pays, j’ai trouvé une armée composée de véritables clochards, vivant dans des conditions misérables », a-t-il déclaré, dans un propos empreint à la fois de gravité et de franchise. Le président Tshisekedi a tenu à rendre hommage aux soldats, en particulier aux militaires du rang, confrontés à des conditions extrêmes. « J’avais une admiration sans faille pour nos militaires, car ces hommes étaient envoyés au combat sans rations, sans solde, sans munitions, sans encadrement, et on leur demandait pourtant de faire des miracles », a-t-il rappelé, soulignant que, malgré ces manquements, certains ont su accomplir l’impossible sur le terrain.
Pour le Chef de l’État, cette réalité ne pouvait perdurer sans mettre en péril la sécurité nationale et la cohésion de l’armée. C’est ce constat qui a guidé ses premières décisions une fois au pouvoir.
Le social des militaires comme priorité présidentielle
« Voilà pourquoi, dès mon arrivée, je me suis attaqué en priorité à leur situation sociale », a expliqué Félix Tshisekedi. Selon lui, l’amélioration des conditions de vie des soldats constitue un levier essentiel pour renforcer l’efficacité des Forces armées de la RDC (FARDC). Le président reconnaît toutefois que les efforts engagés restent insuffisants au regard de l’ampleur des besoins.
« J’ai cherché à améliorer autant que possible leurs conditions de vie, et je sais qu’il reste encore beaucoup à faire, notamment pour mettre à l’abri, dans la mesure du possible, leurs enfants, leurs épouses et leurs familles », a-t-il ajouté. L’objectif affiché est clair : permettre aux militaires de se consacrer pleinement à leur mission régalienne, celle de la défense de la patrie.
Au-delà de la question militaire, le président Tshisekedi a élargi sa réflexion à un enjeu plus global : le patriotisme. « Je dis aujourd’hui que le patriotisme a quelque peu disparu dans ce pays », a-t-il regretté, tout en se voulant résolument optimiste. Pour le Chef de l’État, la jeunesse congolaise représente un espoir majeur. « Notre population est majoritairement jeune, et nous devons réinculquer cette valeur fondamentale du patriotisme à notre jeunesse », a-t-il insisté, estimant que c’est à ce prix que la nation pourra se projeter vers un avenir plus stable et plus solidaire.
S’exprimant face à la jeunesse, le Chef de l’État est revenu sur une situation qu’il qualifie lui-même de dramatique. « Lorsque je suis arrivé à la tête de ce pays, j’ai trouvé une armée composée de véritables clochards, vivant dans des conditions misérables », a-t-il déclaré, dans un propos empreint à la fois de gravité et de franchise. Le président Tshisekedi a tenu à rendre hommage aux soldats, en particulier aux militaires du rang, confrontés à des conditions extrêmes. « J’avais une admiration sans faille pour nos militaires, car ces hommes étaient envoyés au combat sans rations, sans solde, sans munitions, sans encadrement, et on leur demandait pourtant de faire des miracles », a-t-il rappelé, soulignant que, malgré ces manquements, certains ont su accomplir l’impossible sur le terrain.
Pour le Chef de l’État, cette réalité ne pouvait perdurer sans mettre en péril la sécurité nationale et la cohésion de l’armée. C’est ce constat qui a guidé ses premières décisions une fois au pouvoir.
Le social des militaires comme priorité présidentielle
« Voilà pourquoi, dès mon arrivée, je me suis attaqué en priorité à leur situation sociale », a expliqué Félix Tshisekedi. Selon lui, l’amélioration des conditions de vie des soldats constitue un levier essentiel pour renforcer l’efficacité des Forces armées de la RDC (FARDC). Le président reconnaît toutefois que les efforts engagés restent insuffisants au regard de l’ampleur des besoins.
« J’ai cherché à améliorer autant que possible leurs conditions de vie, et je sais qu’il reste encore beaucoup à faire, notamment pour mettre à l’abri, dans la mesure du possible, leurs enfants, leurs épouses et leurs familles », a-t-il ajouté. L’objectif affiché est clair : permettre aux militaires de se consacrer pleinement à leur mission régalienne, celle de la défense de la patrie.
Au-delà de la question militaire, le président Tshisekedi a élargi sa réflexion à un enjeu plus global : le patriotisme. « Je dis aujourd’hui que le patriotisme a quelque peu disparu dans ce pays », a-t-il regretté, tout en se voulant résolument optimiste. Pour le Chef de l’État, la jeunesse congolaise représente un espoir majeur. « Notre population est majoritairement jeune, et nous devons réinculquer cette valeur fondamentale du patriotisme à notre jeunesse », a-t-il insisté, estimant que c’est à ce prix que la nation pourra se projeter vers un avenir plus stable et plus solidaire.

