Le secteur du tourisme israélien s’enfonce dans la crise alors que le conflit avec l’Iran se poursuit. Selon des données officielles relayées par le New York Times, 22.000 touristes étrangers se sont enregistrés pour quitter Israël depuis le début des hostilités, a indiqué le ministère israélien du Tourisme. Ils étaient environ 40.000 présents dans le pays au 13 juin, date marquant un regain de tensions. Quelque 32.000 touristes sont encore sur place, certains ayant déjà franchi les frontières terrestres avec la Jordanie ou l’Égypte.
La baisse de fréquentation est vertigineuse : selon une note de la direction générale du Trésor, le nombre de touristes étrangers a chuté de 64 % en 2024 par rapport à 2023, avec seulement 890.000 visiteurs enregistrés, contre 2,5 millions l’année précédente et près de 4 millions en 2019. Les principaux visiteurs provenaient des États-Unis, de France, de Grande-Bretagne et de Russie.
En parallèle, les départs des Israéliens à l’étranger ont également reculé de 25 % par rapport à 2019, conséquence directe de la contraction du trafic aérien.
Le conflit impacte aussi le transport maritime. Le groupe danois Maersk, numéro deux mondial du secteur, a annoncé ce jeudi la suspension de toutes ses escales dans le port israélien de Haïfa, invoquant des préoccupations sécuritaires liées à la guerre en cours.
En raison de la dégradation des conditions de sécurité en Iran, l'Australie a pris la décision de suspendre les activités de son ambassade à Téhéran et ordonné le départ de tous ses responsables, a déclaré la ministre australienne des Affaires étrangères, Penny Wong. L'ambassadeur d'Australie en Iran restera dans la région pour soutenir la réponse du gouvernement à la crise, a-t-elle ajouté. Le ministère australien des Affaires étrangères va déployer une équipe consulaire en Azerbaïdjan pour aider les Australiens qui le souhaitent à quitter l'Iran.
« Dans le contexte du conflit en cours entre Israël et l'Iran, notamment vis-à-vis des risques potentiels liés aux escales dans les ports israéliens et les implications qui en découlent pour la sécurité des équipages de nos navires, nous avons pris la décision de suspendre temporairement les escales dans le port de Haïfa avec les navires opérés par Maersk », a précisé l’armateur dans un communiqué officiel.
La baisse de fréquentation est vertigineuse : selon une note de la direction générale du Trésor, le nombre de touristes étrangers a chuté de 64 % en 2024 par rapport à 2023, avec seulement 890.000 visiteurs enregistrés, contre 2,5 millions l’année précédente et près de 4 millions en 2019. Les principaux visiteurs provenaient des États-Unis, de France, de Grande-Bretagne et de Russie.
En parallèle, les départs des Israéliens à l’étranger ont également reculé de 25 % par rapport à 2019, conséquence directe de la contraction du trafic aérien.
Le conflit impacte aussi le transport maritime. Le groupe danois Maersk, numéro deux mondial du secteur, a annoncé ce jeudi la suspension de toutes ses escales dans le port israélien de Haïfa, invoquant des préoccupations sécuritaires liées à la guerre en cours.
En raison de la dégradation des conditions de sécurité en Iran, l'Australie a pris la décision de suspendre les activités de son ambassade à Téhéran et ordonné le départ de tous ses responsables, a déclaré la ministre australienne des Affaires étrangères, Penny Wong. L'ambassadeur d'Australie en Iran restera dans la région pour soutenir la réponse du gouvernement à la crise, a-t-elle ajouté. Le ministère australien des Affaires étrangères va déployer une équipe consulaire en Azerbaïdjan pour aider les Australiens qui le souhaitent à quitter l'Iran.
« Dans le contexte du conflit en cours entre Israël et l'Iran, notamment vis-à-vis des risques potentiels liés aux escales dans les ports israéliens et les implications qui en découlent pour la sécurité des équipages de nos navires, nous avons pris la décision de suspendre temporairement les escales dans le port de Haïfa avec les navires opérés par Maersk », a précisé l’armateur dans un communiqué officiel.