Des centaines de milliers de personnes ont défilé dans les rues d'Israël ce dimanche 1er septembre pour exiger un accord pour la libération des otages encore détenus dans l'enclave palestinienne, bombardée sans relâche par Tsahal depuis le samedi 7 octobre 2023. Un appel à la grève générale a été lancé pour ce lundi 2 septembre.
Une vague de colère s'est propagée à travers le pays. Plus de 700 000 personnes, représentant environ 7 % de la population israélienne, ont manifesté ce dimanche dans plusieurs villes d'Israël, avec une mobilisation majeure de près de 550 000 personnes à Tel-Aviv, selon le Forum des familles des otages et des disparus, cité par CNN.
Ces manifestations massives ont eu lieu peu après l'annonce par l'armée de la découverte de six otages morts dans un tunnel de la bande de Gaza.
Les manifestants demandent au Premier ministre Benjamin Netanyahu et à son gouvernement d'extrême droite de conclure un accord avec le Hamas pour la libération des otages encore retenus dans l'enclave palestinienne, près de onze mois après les attaques du 7 octobre.
Grève générale ce lundi
Benjamin Netanyahu, sous une pression croissante pour parvenir à un accord sur les otages après des mois de blocage, a menacé ce dimanche le Hamas de "lui régler son compte". "Celui qui tue des otages ne veut pas d'un accord" sur un cessez-le-feu et la libération des otages israéliens en échange de prisonniers palestiniens, a-t-il affirmé.
D'après CNN, le Premier ministre israélien serait "préoccupé" par l'ampleur des manifestations de ce dimanche.
Le mouvement ne s'arrête pas là. Ce lundi 2 septembre, une grève générale débutera à 6 heures locales, à l'appel de la Histadrout, la principale confédération syndicale du pays. "À 8 heures, l'aéroport sera fermé, les décollages et les atterrissages cesseront", a averti l'organisation dans un communiqué relayé par l'AFP.
L'appel à la grève est soutenu par la ville de Tel-Aviv, comme l'a annoncé le maire Ron Huldai, ancien membre du Parti travailliste. "Il n'y aura pas d'accueil du public jusqu'à midi, et nous autorisons tous les employés municipaux à se joindre aux manifestations", a-t-il écrit sur X, en appelant la population à "descendre dans la rue".
Une vague de colère s'est propagée à travers le pays. Plus de 700 000 personnes, représentant environ 7 % de la population israélienne, ont manifesté ce dimanche dans plusieurs villes d'Israël, avec une mobilisation majeure de près de 550 000 personnes à Tel-Aviv, selon le Forum des familles des otages et des disparus, cité par CNN.
Ces manifestations massives ont eu lieu peu après l'annonce par l'armée de la découverte de six otages morts dans un tunnel de la bande de Gaza.
Les manifestants demandent au Premier ministre Benjamin Netanyahu et à son gouvernement d'extrême droite de conclure un accord avec le Hamas pour la libération des otages encore retenus dans l'enclave palestinienne, près de onze mois après les attaques du 7 octobre.
Grève générale ce lundi
Benjamin Netanyahu, sous une pression croissante pour parvenir à un accord sur les otages après des mois de blocage, a menacé ce dimanche le Hamas de "lui régler son compte". "Celui qui tue des otages ne veut pas d'un accord" sur un cessez-le-feu et la libération des otages israéliens en échange de prisonniers palestiniens, a-t-il affirmé.
D'après CNN, le Premier ministre israélien serait "préoccupé" par l'ampleur des manifestations de ce dimanche.
Le mouvement ne s'arrête pas là. Ce lundi 2 septembre, une grève générale débutera à 6 heures locales, à l'appel de la Histadrout, la principale confédération syndicale du pays. "À 8 heures, l'aéroport sera fermé, les décollages et les atterrissages cesseront", a averti l'organisation dans un communiqué relayé par l'AFP.
L'appel à la grève est soutenu par la ville de Tel-Aviv, comme l'a annoncé le maire Ron Huldai, ancien membre du Parti travailliste. "Il n'y aura pas d'accueil du public jusqu'à midi, et nous autorisons tous les employés municipaux à se joindre aux manifestations", a-t-il écrit sur X, en appelant la population à "descendre dans la rue".