La polémique enfle autour d’une vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux, dans laquelle Assane Guèye, plus connu sous le pseudonyme Azoura Fall, militant actif de PASTEF, est accusé d’avoir proféré des insultes d’une extrême violence à l’encontre de l’ancien président Macky Sall. Ces propos, tenus lors d’un live diffusé sur les plateformes numériques, ont suscité l’indignation de proches de l’ex-chef de l’État.
Dans une plainte adressée au Chef de la Division spéciale de Cybercriminalité, un membre de la famille de Macky Sall affirme que les propos tenus par Azoura Fall constituent une atteinte grave à l’honneur de leur famille. « Ces insultes et provocations atteignent mon honneur et celui de notre famille », peut-on lire dans le courrier daté du 6 mai 2025 et estampillé du sceau de la police nationale.
La plainte précise que la diffusion de cette vidéo intervient dans un contexte de recrudescence des violences verbales sur les réseaux sociaux, alimentant un climat de tension politique et sociale. Le plaignant exige que justice soit rendue et que « ce monsieur soit traduit devant la justice ».
Face à ce qu’il qualifie d’insolence grave, le plaignant rappelle que « les injures publiques envers un ancien chef de l’État doivent faire l’objet de sanctions », et avertit qu’en l’absence de suite donnée par les autorités compétentes, le dossier sera transmis à un avocat pour action judiciaire.
La Division spéciale de cybercriminalité pourrait donc ouvrir une enquête dans les prochains jours. Contactées par nos soins, les autorités judiciaires n’ont pas encore commenté officiellement l’affaire. Quant à Azoura Fall, il n’a, pour l’instant, publié aucune réaction publique.
Cette plainte marque une nouvelle étape dans la judiciarisation des discours politiques sur les réseaux sociaux, devenus des terrains d’affrontement de plus en plus exposés à la justice.
Dans une plainte adressée au Chef de la Division spéciale de Cybercriminalité, un membre de la famille de Macky Sall affirme que les propos tenus par Azoura Fall constituent une atteinte grave à l’honneur de leur famille. « Ces insultes et provocations atteignent mon honneur et celui de notre famille », peut-on lire dans le courrier daté du 6 mai 2025 et estampillé du sceau de la police nationale.
La plainte précise que la diffusion de cette vidéo intervient dans un contexte de recrudescence des violences verbales sur les réseaux sociaux, alimentant un climat de tension politique et sociale. Le plaignant exige que justice soit rendue et que « ce monsieur soit traduit devant la justice ».
Face à ce qu’il qualifie d’insolence grave, le plaignant rappelle que « les injures publiques envers un ancien chef de l’État doivent faire l’objet de sanctions », et avertit qu’en l’absence de suite donnée par les autorités compétentes, le dossier sera transmis à un avocat pour action judiciaire.
La Division spéciale de cybercriminalité pourrait donc ouvrir une enquête dans les prochains jours. Contactées par nos soins, les autorités judiciaires n’ont pas encore commenté officiellement l’affaire. Quant à Azoura Fall, il n’a, pour l’instant, publié aucune réaction publique.
Cette plainte marque une nouvelle étape dans la judiciarisation des discours politiques sur les réseaux sociaux, devenus des terrains d’affrontement de plus en plus exposés à la justice.