Les victimes des récentes manifestations bénéficieront d’un soutien de l’État du Sénégal, conformément au projet de loi 15/2024, relatif à la loi de finances rectificative pour l’année 2024. En ce qui concerne l’indemnisation des victimes des manifestations politiques préélectorales, le ministre a informé l’Assemblée nationale que le montant initialement prévu était de 8 milliards de FCFA.
Cependant, grâce aux efforts de rationalisation réalisés par le ministère de l'Intérieur, ce montant a été réduit à 5 milliards de FCFA, comme l’a précisé le ministre des Finances et du Budget lors de sa présentation du projet de loi de finances rectificative devant les députés ce mardi.
Le président Bassirou Diomaye Faye a récemment annoncé la mise en place d’une enveloppe de 5 milliards FCFA pour indemniser les familles des victimes des manifestations, un geste salué par une grande partie de la population et les défenseurs des droits humains. Cette initiative marque un tournant dans le traitement des préjudices causés par les violences récentes et témoigne d’une volonté d’apporter des solutions concrètes aux souffrances des familles concernées.
Cependant, cette décision n’a pas manqué d’attirer l’attention du collectif "Non à l'Amnistie", un groupe d’associations et de citoyens engagés, qui se réjouit de l’intention des nouvelles autorités mais soulève des préoccupations concernant la communication autour de cette initiative. Dans un communiqué publié ce lundi, le collectif a appelé les autorités à veiller à une diffusion plus large et plus transparente des informations relatives aux démarches à suivre pour bénéficier de cette indemnisation.
Cependant, grâce aux efforts de rationalisation réalisés par le ministère de l'Intérieur, ce montant a été réduit à 5 milliards de FCFA, comme l’a précisé le ministre des Finances et du Budget lors de sa présentation du projet de loi de finances rectificative devant les députés ce mardi.
Le président Bassirou Diomaye Faye a récemment annoncé la mise en place d’une enveloppe de 5 milliards FCFA pour indemniser les familles des victimes des manifestations, un geste salué par une grande partie de la population et les défenseurs des droits humains. Cette initiative marque un tournant dans le traitement des préjudices causés par les violences récentes et témoigne d’une volonté d’apporter des solutions concrètes aux souffrances des familles concernées.
Cependant, cette décision n’a pas manqué d’attirer l’attention du collectif "Non à l'Amnistie", un groupe d’associations et de citoyens engagés, qui se réjouit de l’intention des nouvelles autorités mais soulève des préoccupations concernant la communication autour de cette initiative. Dans un communiqué publié ce lundi, le collectif a appelé les autorités à veiller à une diffusion plus large et plus transparente des informations relatives aux démarches à suivre pour bénéficier de cette indemnisation.