L’ex-maire de Thiès, qui accuse Macky Sall, alors Premier ministre, d’avoir été au cœur du « complot d’Etat » qui aurait été orchestré contre sa personne, a aussi rappelé avoir été l’initiateur et l’organisateur de la « campagne victorieuse de 2000 ». Ainsi, annonce-t-il son retour sur le devant de la scène : « Il y a eu une éclipse d’une dizaine d’années. L’éclipse est terminée. J'étais son patron dans l'Etat et dans la politique. »
En réponse, le Président Macky Sall, en marge d’une conférence de presse en présence de son homologue libérien, George Weah, attaqué le patron du parti Rewmi, soulignant que « Idrissa Seck ne connait pas les relations internationales en la matière. Comment peut-on signer un accord international secret, alors qu’il sera promulgué (...) On s’enferme dans son bureau, on signe en catimini des contrats pétroliers à son frère, contre tout bon sens et respect de la constitution et de la loi Sénégalaise, on lui permet de céder ses droits et titres à des milliards de FCFA qui échappent au peuple Sénégalais et on se met devant la télévision pour dire à quelqu’un qui a été son patron dans l’Etat et dans la politique, qu’il ne comprend pas comment ça marche. Ce n’est pas sérieux». Le Président Sall ne s’est pas arrêt là, puisqu’il a tenu à indiquer les différentes procédures devant mener à la promulgation de cet accord, notamment le passage à l’Assemblée nationale.
Sauf que la réponse de Macky Sall, servie le jeudi 15 février ne correspond pas aux attentes de Idy, qui, dans la même soirée, est revenu à la charge. « Ce que je lui ai demandé est très clair. Qu’il dise aux Sénégalais ce qu’il a signé et non de nous dire la procédure au niveau national (...). Si on te demande ton nom, il faut simplement dire, je m’appelle tel. Et non pas répondre en donnant ton âge. C’est tout ce que je lui demande pas autre chose. Qu’il nous donne le contenu et non qu’il nous expose une procédure », insiste Idrissa Seck.
Un accord sur gaz qui a déjà déclenché des explosions bien avant l’heure. En effet, les deux hommes sont donnés pour s’affronter lors de l’élection présidentielle prévue en 2019. Une bataille des urnes qui risque d’être très âpre, en atteste la virulence des échanges entre les deux anciens chefs de gouvernement de l’ex-Président du Sénégal Me Abdoulaye Wade.
En réponse, le Président Macky Sall, en marge d’une conférence de presse en présence de son homologue libérien, George Weah, attaqué le patron du parti Rewmi, soulignant que « Idrissa Seck ne connait pas les relations internationales en la matière. Comment peut-on signer un accord international secret, alors qu’il sera promulgué (...) On s’enferme dans son bureau, on signe en catimini des contrats pétroliers à son frère, contre tout bon sens et respect de la constitution et de la loi Sénégalaise, on lui permet de céder ses droits et titres à des milliards de FCFA qui échappent au peuple Sénégalais et on se met devant la télévision pour dire à quelqu’un qui a été son patron dans l’Etat et dans la politique, qu’il ne comprend pas comment ça marche. Ce n’est pas sérieux». Le Président Sall ne s’est pas arrêt là, puisqu’il a tenu à indiquer les différentes procédures devant mener à la promulgation de cet accord, notamment le passage à l’Assemblée nationale.
Sauf que la réponse de Macky Sall, servie le jeudi 15 février ne correspond pas aux attentes de Idy, qui, dans la même soirée, est revenu à la charge. « Ce que je lui ai demandé est très clair. Qu’il dise aux Sénégalais ce qu’il a signé et non de nous dire la procédure au niveau national (...). Si on te demande ton nom, il faut simplement dire, je m’appelle tel. Et non pas répondre en donnant ton âge. C’est tout ce que je lui demande pas autre chose. Qu’il nous donne le contenu et non qu’il nous expose une procédure », insiste Idrissa Seck.
Un accord sur gaz qui a déjà déclenché des explosions bien avant l’heure. En effet, les deux hommes sont donnés pour s’affronter lors de l’élection présidentielle prévue en 2019. Une bataille des urnes qui risque d’être très âpre, en atteste la virulence des échanges entre les deux anciens chefs de gouvernement de l’ex-Président du Sénégal Me Abdoulaye Wade.