L’Alliance pour la République (APR) est au bord de l’implosion. Réunis ce vendredi sous la houlette de Me Sidiki Kaba, les membres du Secrétariat exécutif du parti ont laissé exploser leur colère, dans une ambiance décrite par L’Observateur comme « chargée d’électricité ».
L’objet du courroux ? La participation de certains cadres au dialogue national sans mandat officiel du parti. Pour les plus radicaux, une « ligne rouge » a été franchie. Le cas d’Abdoulaye Saydou Sow, ex-ministre et maire de Kaffrine, a particulièrement cristallisé les tensions, en raison de ses confidences sur un échange privé avec Macky Sall et un message resté sans réponse.
« C’est une trahison ! », ont martelé certains participants, réclamant ouvertement des sanctions pour « faute politique majeure ». D'autres figures comme Matar Bâ ou Abdoulaye Daouda Diallo, également présents au dialogue, ont suscité moins de réactions. « Ils ne viennent même plus à nos réunions… Qu’ils restent là où ils sont ! », a lancé un jeune membre récemment promu.
Entre colère, ressentiment et volonté de purger les rangs, la fracture semble consommée. Pour plusieurs responsables, l’heure est venue de trancher : « l’oubli ou l’exclusion », pour éviter que la crise ne dégénère en implosion totale.
L’objet du courroux ? La participation de certains cadres au dialogue national sans mandat officiel du parti. Pour les plus radicaux, une « ligne rouge » a été franchie. Le cas d’Abdoulaye Saydou Sow, ex-ministre et maire de Kaffrine, a particulièrement cristallisé les tensions, en raison de ses confidences sur un échange privé avec Macky Sall et un message resté sans réponse.
« C’est une trahison ! », ont martelé certains participants, réclamant ouvertement des sanctions pour « faute politique majeure ». D'autres figures comme Matar Bâ ou Abdoulaye Daouda Diallo, également présents au dialogue, ont suscité moins de réactions. « Ils ne viennent même plus à nos réunions… Qu’ils restent là où ils sont ! », a lancé un jeune membre récemment promu.
Entre colère, ressentiment et volonté de purger les rangs, la fracture semble consommée. Pour plusieurs responsables, l’heure est venue de trancher : « l’oubli ou l’exclusion », pour éviter que la crise ne dégénère en implosion totale.