Le juge d’instruction du premier cabinet du pôle judiciaire financier a une nouvelle fois rejeté la demande de mise en liberté sous caution de Farba Ngom, député-maire d’Agnam. Le magistrat Idrissa Diarra a estimé que les trois titres fonciers proposés comme garantie d’une valeur de 31 milliards FCFA – ne remplissaient pas les conditions requises, car ils sont au nom de sociétés et non en propriété personnelle de l’élu.
Pour la deuxième fois consécutive, l’offre de cautionnement du maire a été refusée. En octobre dernier, une première proposition de 34 milliards FCFA avait déjà été rejetée en raison d'irrégularités dans les titres fonciers. « Le juge ne veut prendre aucun risque. Il exige des biens personnels », explique le journal Les Echos dans sa parution du jour.
Farba Ngom est impliqué dans deux dossiers distincts : un premier portant sur 56 milliards FCFA (dont 31 milliards à sa charge), et un second concernant 91 milliards FCFA, où il apparaît comme « complice présumé » aux côtés de l’homme d’affaires Tahirou Sarr.
Ces affaires font suite à un rapport de la CENTIF (Cellule nationale de traitement des informations financières) ayant révélé des détournements présumés de 125 milliards FCFA.
Pour la deuxième fois consécutive, l’offre de cautionnement du maire a été refusée. En octobre dernier, une première proposition de 34 milliards FCFA avait déjà été rejetée en raison d'irrégularités dans les titres fonciers. « Le juge ne veut prendre aucun risque. Il exige des biens personnels », explique le journal Les Echos dans sa parution du jour.
Farba Ngom est impliqué dans deux dossiers distincts : un premier portant sur 56 milliards FCFA (dont 31 milliards à sa charge), et un second concernant 91 milliards FCFA, où il apparaît comme « complice présumé » aux côtés de l’homme d’affaires Tahirou Sarr.
Ces affaires font suite à un rapport de la CENTIF (Cellule nationale de traitement des informations financières) ayant révélé des détournements présumés de 125 milliards FCFA.