Abdoulaye Mamadou Guissé, président d’Omart City Sénégal, a passé sa première nuit en détention après avoir été inculpé et placé sous mandat de dépôt ce jeudi par le juge d’instruction du 2ᵉ cabinet du tribunal de grande instance de Pikine-Guédiawaye. Cette décision intervient après un retour de parquet, marquant une avancée significative dans l'enquête en cours.
L’inculpé a été assisté dans cette procédure par son avocat, Me Abdou Dialy Kane.
Contexte de l’affaire
Omart City, dirigée par Abdoulaye Mamadou Guissé, avait initié un projet de logements sociaux dans plusieurs régions du Sénégal. L’organisme percevait des frais d’inscription de 5 500 à 6 000 F CFA par personne pour la constitution de dossiers. Cependant, des plaintes pour escroquerie et blanchiment de capitaux ont conduit à l’arrestation de Guissé samedi dernier par les gendarmes de la Brigade territoriale de la Zone Franche Industrielle.
En outre, Abdoulaye Mamadou Guissé était également recherché par la Section de Recherches de Saint-Louis et le commissariat central de Diourbel, suite à une délégation judiciaire émise par le juge d’instruction du premier cabinet près le Tribunal de Grande Instance du Baol.
L’affaire, qui soulève des interrogations sur la gestion des projets sociaux et la protection des citoyens, continue de faire l’objet d’une enquête approfondie.
L’inculpé a été assisté dans cette procédure par son avocat, Me Abdou Dialy Kane.
Contexte de l’affaire
Omart City, dirigée par Abdoulaye Mamadou Guissé, avait initié un projet de logements sociaux dans plusieurs régions du Sénégal. L’organisme percevait des frais d’inscription de 5 500 à 6 000 F CFA par personne pour la constitution de dossiers. Cependant, des plaintes pour escroquerie et blanchiment de capitaux ont conduit à l’arrestation de Guissé samedi dernier par les gendarmes de la Brigade territoriale de la Zone Franche Industrielle.
En outre, Abdoulaye Mamadou Guissé était également recherché par la Section de Recherches de Saint-Louis et le commissariat central de Diourbel, suite à une délégation judiciaire émise par le juge d’instruction du premier cabinet près le Tribunal de Grande Instance du Baol.
L’affaire, qui soulève des interrogations sur la gestion des projets sociaux et la protection des citoyens, continue de faire l’objet d’une enquête approfondie.