Dans l'urgence le mouvement FRAPP et le collectif pour la justice et contre les violences policières viennent de tenir une déclaration sur la situation qui prévaut en ce moment au camp pénal de Liberté 6. Selon leur communiqué c'est suite aux grenades lacrymogènes lancées dans les chambres 13, 14 et 15 de la prison du Camp pénal, 18 détenus ont été envoyés à l’infirmerie, rapporte le Frapp.
18 détenus envoyés à l’infirmerie de la prison à la suite d’échauffourées. Le Front pour une révolution anti-impérialiste populaire et panafricaine (Frapp France Dégage), qui a filé l’info, demande à l’administration pénitentiaire d’apaiser le climat carcéral.
Des grenades lacrymogènes ont été lancées dans les chambres 13, 14 et 15 de la prison du Camp pénal, ce mardi 29 mars. D’après le Frapp, le Camp pénal est “surpeuplé et certains agents pénitentiaires – pas tous – sont de véritables tortionnaires”.
18 détenus envoyés à l’infirmerie de la prison à la suite d’échauffourées. Le Front pour une révolution anti-impérialiste populaire et panafricaine (Frapp France Dégage), qui a filé l’info, demande à l’administration pénitentiaire d’apaiser le climat carcéral.
Des grenades lacrymogènes ont été lancées dans les chambres 13, 14 et 15 de la prison du Camp pénal, ce mardi 29 mars. D’après le Frapp, le Camp pénal est “surpeuplé et certains agents pénitentiaires – pas tous – sont de véritables tortionnaires”.