La 25e édition du Drapeau du Chef de l’État en lutte traditionnelle a officiellement démarré ce vendredi 16 mai 2024, au stade Aline Sitoé Diatta de Ziguinchor. La compétition par équipes a réuni les 14 régions du Sénégal, chacune alignant ses meilleurs lutteurs dans l'espoir de décrocher une place en finale.
Poule A : La région de Dakar, tenante du titre, a confirmé son statut de favorite en s’imposant face à Louga et Matam.
Poule B : Région hôte, Ziguinchor s’est inclinée face à Diourbel, malgré une victoire face à Kédougou, qui termine dernière du groupe.
Poule C : Fatick a brillamment dominé Saint-Louis, Sédhiou et Tambacounda, grâce à des performances solides et constantes.
Poule D : Kaolack s’est distinguée en surclassant Thiès, Kolda et Kaffrine, avec des lutteurs à la fois puissants et techniquement aguerris.
Poule A : La région de Dakar, tenante du titre, a confirmé son statut de favorite en s’imposant face à Louga et Matam.
Poule B : Région hôte, Ziguinchor s’est inclinée face à Diourbel, malgré une victoire face à Kédougou, qui termine dernière du groupe.
Poule C : Fatick a brillamment dominé Saint-Louis, Sédhiou et Tambacounda, grâce à des performances solides et constantes.
Poule D : Kaolack s’est distinguée en surclassant Thiès, Kolda et Kaffrine, avec des lutteurs à la fois puissants et techniquement aguerris.
Demi-finales : spectacle, suspense et tension
Les demi-finales ont offert un spectacle intense au rythme des tambours et des chants des cantatrices, opposant Fatick, Kaolack, Diourbel et Dakar.
Dans une demi-finale haletante, Dakar a réussi une remontada spectaculaire contre Fatick, qui avait pourtant pris l’avantage en remportant les combats des 66 kg et 76 kg. Grâce à trois victoires décisives dans les 86 kg, 100 kg et plus de 100 kg, les lutteurs de la capitale, coachés par Boy Kairé, ont renversé la situation. Une décision arbitrale controversée, validée par la VAR, a toutefois déclenché la colère de la délégation de Fatick.
Dans l’autre demi-finale, Kaolack s’est imposée de justesse face à Diourbel (3 victoires à 2), grâce à une prestation décisive dans la catégorie +100 kg, lors du dernier combat.
Les demi-finales ont offert un spectacle intense au rythme des tambours et des chants des cantatrices, opposant Fatick, Kaolack, Diourbel et Dakar.
Dans une demi-finale haletante, Dakar a réussi une remontada spectaculaire contre Fatick, qui avait pourtant pris l’avantage en remportant les combats des 66 kg et 76 kg. Grâce à trois victoires décisives dans les 86 kg, 100 kg et plus de 100 kg, les lutteurs de la capitale, coachés par Boy Kairé, ont renversé la situation. Une décision arbitrale controversée, validée par la VAR, a toutefois déclenché la colère de la délégation de Fatick.
Dans l’autre demi-finale, Kaolack s’est imposée de justesse face à Diourbel (3 victoires à 2), grâce à une prestation décisive dans la catégorie +100 kg, lors du dernier combat.
Vers une finale attendue : Dakar vs Kaolack
La finale par équipes, prévue ce dimanche 18 mai, opposera donc Dakar, triple champion en titre (2022, 2023, 2024), aux redoutables Saloum-Saloum de Kaolack, en quête de consécration.
En attendant ce choc au sommet, les compétitions individuelles se poursuivent ce samedi, avec notamment l’entrée en lice des lutteurs de Ziguinchor, désireux de se racheter après leur élimination en phase de poules.
La clôture officielle du tournoi est annoncée pour le dimanche, avec les finales par équipes, individuelles et en petites catégories, y compris la lutte féminine, en présence du Premier ministre ou du ministre des Sports, de la Jeunesse et de la Culture.
La finale par équipes, prévue ce dimanche 18 mai, opposera donc Dakar, triple champion en titre (2022, 2023, 2024), aux redoutables Saloum-Saloum de Kaolack, en quête de consécration.
En attendant ce choc au sommet, les compétitions individuelles se poursuivent ce samedi, avec notamment l’entrée en lice des lutteurs de Ziguinchor, désireux de se racheter après leur élimination en phase de poules.
La clôture officielle du tournoi est annoncée pour le dimanche, avec les finales par équipes, individuelles et en petites catégories, y compris la lutte féminine, en présence du Premier ministre ou du ministre des Sports, de la Jeunesse et de la Culture.