Le Secrétariat Exécutif National (SEN) de l’Alliance Pour la République (APR) a vivement réagi aux propos tenus par Amadou Moustapha Ndieck Sarré, ministre et porte-parole du gouvernement. Ce dernier a affirmé que « Mouhamadou Moustapha Ba a avoué un maquillage des chiffres avant d’être tué », une déclaration jugée scandaleuse par l’APR.
Réuni ce jeudi 20 mars, le SEN a condamné « une sortie désastreuse d’un coutumier des faits », dénonçant une tentative de manipulation de l’opinion publique. Face à la gravité des accusations, le parti de l’ancien président Macky Sall demande au Procureur de la République de convoquer immédiatement M. Sarré pour qu’il « apporte les preuves de ses déclarations ».
Le Secrétariat Exécutif National de l’APR a fustigé ces propos, soulignant leur impact sur la stabilité du pays. « Il est inconcevable qu’un membre du gouvernement puisse ainsi jeter en pâture de telles accusations sans fondement. La justice doit faire son travail, comme elle l’a fait en décembre dernier contre le journaliste Adama Gaye pour des faits similaires », a déclaré le SEN dans son communiqué.
Au-delà de cette affaire, l’APR s’oppose fermement à la proposition de loi interprétative sur l’amnistie, dénonçant « une tentative de diviser les Sénégalais entre militants de Pastef et les autres ». Le parti appelle ainsi à « une manifestation pacifique le 2 avril prochain devant l’Assemblée nationale pour s’opposer à cette manœuvre politicienne ».
Dans un contexte de tensions croissantes, l’APR continue également de réclamer la libération de plusieurs de ses membres, dont Farba Ngom, Lat Diop et Abdoulaye Ndiaye, dénonçant une « tentative d’affaiblir l’opposition par des arrestations arbitraires ».
Réuni ce jeudi 20 mars, le SEN a condamné « une sortie désastreuse d’un coutumier des faits », dénonçant une tentative de manipulation de l’opinion publique. Face à la gravité des accusations, le parti de l’ancien président Macky Sall demande au Procureur de la République de convoquer immédiatement M. Sarré pour qu’il « apporte les preuves de ses déclarations ».
Le Secrétariat Exécutif National de l’APR a fustigé ces propos, soulignant leur impact sur la stabilité du pays. « Il est inconcevable qu’un membre du gouvernement puisse ainsi jeter en pâture de telles accusations sans fondement. La justice doit faire son travail, comme elle l’a fait en décembre dernier contre le journaliste Adama Gaye pour des faits similaires », a déclaré le SEN dans son communiqué.
Au-delà de cette affaire, l’APR s’oppose fermement à la proposition de loi interprétative sur l’amnistie, dénonçant « une tentative de diviser les Sénégalais entre militants de Pastef et les autres ». Le parti appelle ainsi à « une manifestation pacifique le 2 avril prochain devant l’Assemblée nationale pour s’opposer à cette manœuvre politicienne ».
Dans un contexte de tensions croissantes, l’APR continue également de réclamer la libération de plusieurs de ses membres, dont Farba Ngom, Lat Diop et Abdoulaye Ndiaye, dénonçant une « tentative d’affaiblir l’opposition par des arrestations arbitraires ».