Domicilié à Ouest-Foire, l'entrepreneur S. M. Dieng se retrouve dans une situation judiciaire délicate, accusé par son ex-petite amie, M. B. Sène, de relations sexuelles abusives et de refus de paternité. L’affaire, désormais entre les mains de la justice, soulève de sérieuses interrogations sur les abus de pouvoir en situation de vulnérabilité.
Après un an de relations amoureuses, S. M. Dieng et M. B. Sène se sont séparés pour incompatibilité d’humeur. M. B. Sène, tentant de tourner la page, s’est remariée. Malheureusement, ce mariage n’a duré que quatre mois, la jeune femme ayant été frappée par une mystérieuse maladie. Son état psychique s’étant dégradé, elle a été hospitalisée à Fann tandis que sa famille multipliait les consultations chez des guérisseurs traditionnels.
Lorsque son état de santé s’est amélioré, M. B. Sène a renoué contact avec S. M. Dieng via Facebook. L’entrepreneur l’a invitée à son domicile d’Ouest-Foire, où ils ont eu des rapports sexuels. Selon l’enquête, il aurait ensuite profité de la vulnérabilité psychologique de la jeune femme pour multiplier ces rencontres intimes.
M. B. Sène a fini par tomber enceinte. Confrontée par sa famille, elle a désigné S. M. Dieng comme étant le père de l’enfant. Cependant, l’accusé a catégoriquement rejeté cette paternité.
Interpellé par la gendarmerie de la Foire suite à une plainte déposée par la famille de la victime, S. M. Dieng a reconnu avoir eu des rapports sexuels avec M. B. Sène à trois reprises, tout en maintenant son refus d’assumer la grossesse.
Cette affaire met en lumière la question du consentement et de la protection des personnes vulnérables. S. M. Dieng devra convaincre la justice de son innocence concernant les accusations d’abus sexuel sur une personne fragile, tout en éclaircissant la situation autour de la grossesse de M. B. Sène.
Le procès à venir promet d’être scruté de près par l’opinion publique, d’autant plus que la notion de consentement en situation de vulnérabilité reste un sujet sensible dans la société sénégalaise.
seneweb
Après un an de relations amoureuses, S. M. Dieng et M. B. Sène se sont séparés pour incompatibilité d’humeur. M. B. Sène, tentant de tourner la page, s’est remariée. Malheureusement, ce mariage n’a duré que quatre mois, la jeune femme ayant été frappée par une mystérieuse maladie. Son état psychique s’étant dégradé, elle a été hospitalisée à Fann tandis que sa famille multipliait les consultations chez des guérisseurs traditionnels.
Lorsque son état de santé s’est amélioré, M. B. Sène a renoué contact avec S. M. Dieng via Facebook. L’entrepreneur l’a invitée à son domicile d’Ouest-Foire, où ils ont eu des rapports sexuels. Selon l’enquête, il aurait ensuite profité de la vulnérabilité psychologique de la jeune femme pour multiplier ces rencontres intimes.
M. B. Sène a fini par tomber enceinte. Confrontée par sa famille, elle a désigné S. M. Dieng comme étant le père de l’enfant. Cependant, l’accusé a catégoriquement rejeté cette paternité.
Interpellé par la gendarmerie de la Foire suite à une plainte déposée par la famille de la victime, S. M. Dieng a reconnu avoir eu des rapports sexuels avec M. B. Sène à trois reprises, tout en maintenant son refus d’assumer la grossesse.
Cette affaire met en lumière la question du consentement et de la protection des personnes vulnérables. S. M. Dieng devra convaincre la justice de son innocence concernant les accusations d’abus sexuel sur une personne fragile, tout en éclaircissant la situation autour de la grossesse de M. B. Sène.
Le procès à venir promet d’être scruté de près par l’opinion publique, d’autant plus que la notion de consentement en situation de vulnérabilité reste un sujet sensible dans la société sénégalaise.
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