Le président russe Vladimir Poutine a présenté, ce samedi 28 décembre, des excuses à son homologue azerbaïdjanais Ilham Aliev à la suite du crash mortel d’un avion d’Azerbaïdjan Airlines survenu mardi dans l’espace aérien russe. Cependant, Moscou n’a pas reconnu avoir abattu l’appareil.
C’est Vladimir Poutine lui-même qui a contacté le président azerbaïdjanais pour exprimer son regret face à ce qu’il a qualifié de « tragique incident » dans l’espace aérien russe. Il a néanmoins évité d’admettre que la défense aérienne russe aurait abattu par erreur le vol Bakou-Grozny, survenu mercredi.
Le président russe a renouvelé ses condoléances aux familles des victimes et a souhaité un prompt rétablissement aux blessés. Il a également évoqué une attaque de drones ukrainiens en cours sur Grozny au moment où l’avion devait y atterrir, affirmant que la défense aérienne russe tentait alors de les neutraliser.
Moscou n’a, pour l’heure, pas confirmé être responsable de la chute de l’appareil. Les résultats préliminaires de l’enquête évoquent une « interférence externe de nature physique et technique », mais les conclusions définitives sont encore attendues.
Un appel au président kazakh Kassym-Jomart Tokaïev
L’avion s’étant écrasé au Kazakhstan, Vladimir Poutine a également contacté le président kazakh Kassym-Jomart Tokaïev. Lors de cet échange, le président russe a affirmé que la commission gouvernementale kazakhe chargée d’enquêter sur l’incident ferait appel à des experts russes, azerbaïdjanais et brésiliens. « Ce travail, mené sur le territoire du Kazakhstan, sera objectif et transparent », a-t-il assuré.
De son côté, le président Tokaïev a partagé un message sur X (anciennement Twitter), déclarant : « À l’initiative de la partie russe, Kassym-Jomart Tokaïev a eu un entretien téléphonique avec Vladimir Poutine. Les deux présidents ont mutuellement exprimé leurs condoléances suite au crash de l’avion d’Azerbaïdjan Airlines près d’Aktau, ayant causé la mort de citoyens kazakhs et russes, et ont souhaité un prompt rétablissement aux blessés. »
Il a également souligné l’importance de mener une enquête « approfondie et ouverte », avec la participation de spécialistes des pays concernés.
C’est Vladimir Poutine lui-même qui a contacté le président azerbaïdjanais pour exprimer son regret face à ce qu’il a qualifié de « tragique incident » dans l’espace aérien russe. Il a néanmoins évité d’admettre que la défense aérienne russe aurait abattu par erreur le vol Bakou-Grozny, survenu mercredi.
Le président russe a renouvelé ses condoléances aux familles des victimes et a souhaité un prompt rétablissement aux blessés. Il a également évoqué une attaque de drones ukrainiens en cours sur Grozny au moment où l’avion devait y atterrir, affirmant que la défense aérienne russe tentait alors de les neutraliser.
Moscou n’a, pour l’heure, pas confirmé être responsable de la chute de l’appareil. Les résultats préliminaires de l’enquête évoquent une « interférence externe de nature physique et technique », mais les conclusions définitives sont encore attendues.
Un appel au président kazakh Kassym-Jomart Tokaïev
L’avion s’étant écrasé au Kazakhstan, Vladimir Poutine a également contacté le président kazakh Kassym-Jomart Tokaïev. Lors de cet échange, le président russe a affirmé que la commission gouvernementale kazakhe chargée d’enquêter sur l’incident ferait appel à des experts russes, azerbaïdjanais et brésiliens. « Ce travail, mené sur le territoire du Kazakhstan, sera objectif et transparent », a-t-il assuré.
De son côté, le président Tokaïev a partagé un message sur X (anciennement Twitter), déclarant : « À l’initiative de la partie russe, Kassym-Jomart Tokaïev a eu un entretien téléphonique avec Vladimir Poutine. Les deux présidents ont mutuellement exprimé leurs condoléances suite au crash de l’avion d’Azerbaïdjan Airlines près d’Aktau, ayant causé la mort de citoyens kazakhs et russes, et ont souhaité un prompt rétablissement aux blessés. »
Il a également souligné l’importance de mener une enquête « approfondie et ouverte », avec la participation de spécialistes des pays concernés.