Le secteur agricole semble ne pas être épargné par les revendications syndicales. Le SYNTAS, Syndicat des travailleurs de l’Agriculture du Sénégal, dans deux communiqués et une lettre adressée au chef de L’Etat n’a pas manqué de fustiger l’attitude de leur tutelle qui serait au contre courant des directives du Président de la République, selon eux.
Une interpellation qui a incité les autorités du secteur à sortir et d’amener des éclaircissements sur les différents points évoqués par les syndicalistes à savoir : l’absence de politique agricole et l’échec du programme National d’Autosuffisance Alimentaire PNAR, l’amélioration des conditions des travailleurs de l’Agriculture du Sénégal et la lettre ouverte au chef de l’Etat avec une dose de mise en garde.
La tutelle trouve normal que les travailleurs réclament une amélioration des conditions de travail du personnel. Une demande noble car qui est de l’intérêt général de tout le personnel du secteur.
Selon M. Serge Malou Directeur du Financement et du Partenariat avec les Organisations au Ministère souligne que, le ministre de l’agriculture le professeur M. Moussa Baldé a pris acte et s’est engagé avec son homologue des finances pour voir comment améliorer les choses « Le chef de l’Etat après avoir été saisi par le ministre de l’Agriculture le professeur Moussa Baldé, a donné des instructions pour qu’il puisse arrondir avec son homologue des finances pour voir la faisabilité du redimensionnement des salaires. Cela traduit encore une fois la volonté affichée de l’autorité d’aider les agents travailleurs du secteur agricole ».
Cependant, sur l’absence de politique agricole et l’échec du programme National d’Autosuffisance Alimentaire PNAR évoqué par SYNTAS ; le communiqué affirme que les syndicalistes font dans la diversion. Parce que les chiffres prouvent le contraire avec une hausse des productions depuis l’arrivée au pouvoir du président Macky Sall « En ce qui concerne le Programme National d’Autosuffisance en Riz, il est important de retenir, que de 2000 à 2011, c’est-à-dire avant l’accession du président Sall au pouvoir, la production moyenne de riz était de 296 379 tonnes. En 2012, après un an seulement d’exercice du pouvoir, la production de riz passe à 405 824 tonnes. En 2017 également, le Sénégal sous le magistère du Président Macky Sall a fêté son premier million de tonnes avec une production record de 1 million 11 mille 269 tonnes. Pour la campagne 2019/2020, la production du riz est estimée à 1 155 337 tonnes soit environ 41% ».
Une situation qui démontre la vision claire et précise des autorités du secteur.
Abordant la lettre adressée au chef de l’Etat par les syndicalistes, le communiqué déplore le contenu et invite les syndicalistes à se limiter à donner des informations utiles au chef de l’Etat qui lui aiderons dans ces prises décision « par rapport à la lettre ouverte adressé au chef de l’Etat, je ne partage aucunement la formulation. En aucun cas vous ne pouvez mettre la pression sur le chef de l’Etat et ou l’obligé à prendre des décisions. Il lui revient de droit non seulement de définir la politique de la nation mais de nommer à fonctions civiles et militaires. Autrement dit, vous devez vous arrêter à poser vos revendications mais non pour aller vers une confrontation » souligne M. le Directeur du Financement et du Partenariat avec les Organisations.
Le secteur agricole depuis l’indépendance à nos jours n’a jamais connu les records qu’il a enregistrés sous le règne du Président Macky Sall. Avec une amélioration des semences ainsi que des récoltes, mais aussi la suppression des bons impayés qui participe à l’augmentation des revenus Ruraux.
« Mais personne ne comprend ce syndicat, tantôt, il attaque la vision agricole, les programmes et projets, tantôt les statistiques fournis par leurs propres collègues. A l’analyse, ce combat frise une dose de politique. On n’est tenté de penser que nous sommes en face d’un parti politique organisé dans un ministère avec comme unique but de déstabiliser mais sachez de prima bord que cela ne passera aucunement pas. Et mieux, je demande que l’autorité prenne toutes les dispositions pour mettre un terme à ce vacarme ».
« A l’heure actuelle fondamentalement marquée par une dépression des économies mondiaux due à la maladie de la COVID 19 ou le Sénégal annonce une croissance en régression, là où toute la majeure partie de la population ont cotisé pour aider l’Etat à faire face à cette pandémie, un groupe de sénégalais, là, à coté pour tenter de tirer cet élan de solidarité nationale vers le bas » dixit-il.
Une interpellation qui a incité les autorités du secteur à sortir et d’amener des éclaircissements sur les différents points évoqués par les syndicalistes à savoir : l’absence de politique agricole et l’échec du programme National d’Autosuffisance Alimentaire PNAR, l’amélioration des conditions des travailleurs de l’Agriculture du Sénégal et la lettre ouverte au chef de l’Etat avec une dose de mise en garde.
La tutelle trouve normal que les travailleurs réclament une amélioration des conditions de travail du personnel. Une demande noble car qui est de l’intérêt général de tout le personnel du secteur.
Selon M. Serge Malou Directeur du Financement et du Partenariat avec les Organisations au Ministère souligne que, le ministre de l’agriculture le professeur M. Moussa Baldé a pris acte et s’est engagé avec son homologue des finances pour voir comment améliorer les choses « Le chef de l’Etat après avoir été saisi par le ministre de l’Agriculture le professeur Moussa Baldé, a donné des instructions pour qu’il puisse arrondir avec son homologue des finances pour voir la faisabilité du redimensionnement des salaires. Cela traduit encore une fois la volonté affichée de l’autorité d’aider les agents travailleurs du secteur agricole ».
Cependant, sur l’absence de politique agricole et l’échec du programme National d’Autosuffisance Alimentaire PNAR évoqué par SYNTAS ; le communiqué affirme que les syndicalistes font dans la diversion. Parce que les chiffres prouvent le contraire avec une hausse des productions depuis l’arrivée au pouvoir du président Macky Sall « En ce qui concerne le Programme National d’Autosuffisance en Riz, il est important de retenir, que de 2000 à 2011, c’est-à-dire avant l’accession du président Sall au pouvoir, la production moyenne de riz était de 296 379 tonnes. En 2012, après un an seulement d’exercice du pouvoir, la production de riz passe à 405 824 tonnes. En 2017 également, le Sénégal sous le magistère du Président Macky Sall a fêté son premier million de tonnes avec une production record de 1 million 11 mille 269 tonnes. Pour la campagne 2019/2020, la production du riz est estimée à 1 155 337 tonnes soit environ 41% ».
Une situation qui démontre la vision claire et précise des autorités du secteur.
Abordant la lettre adressée au chef de l’Etat par les syndicalistes, le communiqué déplore le contenu et invite les syndicalistes à se limiter à donner des informations utiles au chef de l’Etat qui lui aiderons dans ces prises décision « par rapport à la lettre ouverte adressé au chef de l’Etat, je ne partage aucunement la formulation. En aucun cas vous ne pouvez mettre la pression sur le chef de l’Etat et ou l’obligé à prendre des décisions. Il lui revient de droit non seulement de définir la politique de la nation mais de nommer à fonctions civiles et militaires. Autrement dit, vous devez vous arrêter à poser vos revendications mais non pour aller vers une confrontation » souligne M. le Directeur du Financement et du Partenariat avec les Organisations.
Le secteur agricole depuis l’indépendance à nos jours n’a jamais connu les records qu’il a enregistrés sous le règne du Président Macky Sall. Avec une amélioration des semences ainsi que des récoltes, mais aussi la suppression des bons impayés qui participe à l’augmentation des revenus Ruraux.
« Mais personne ne comprend ce syndicat, tantôt, il attaque la vision agricole, les programmes et projets, tantôt les statistiques fournis par leurs propres collègues. A l’analyse, ce combat frise une dose de politique. On n’est tenté de penser que nous sommes en face d’un parti politique organisé dans un ministère avec comme unique but de déstabiliser mais sachez de prima bord que cela ne passera aucunement pas. Et mieux, je demande que l’autorité prenne toutes les dispositions pour mettre un terme à ce vacarme ».
« A l’heure actuelle fondamentalement marquée par une dépression des économies mondiaux due à la maladie de la COVID 19 ou le Sénégal annonce une croissance en régression, là où toute la majeure partie de la population ont cotisé pour aider l’Etat à faire face à cette pandémie, un groupe de sénégalais, là, à coté pour tenter de tirer cet élan de solidarité nationale vers le bas » dixit-il.

