L’armée burkinabè a infligé un revers majeur à des groupes armés terroristes lors d’une vaste opération militaire lancée le 13 mai dernier dans la forêt de Dida, une zone dense et difficile d’accès située près de la frontière avec la Côte d’Ivoire.
Selon des sources sécuritaires, cette offensive a été déclenchée à la suite d’un renseignement faisant état d’une menace planifiée contre la ville de Banfora et ses environs. Baptisée « Tourbillon vert 3 », l’opération a mobilisé des unités du 2e Groupement d’intervention rapide (GIR) et du 7e Bataillon d’intervention rapide (BIR), appuyées par des vecteurs aériens.
Le premier assaut a été lancé à 14h26 avec une frappe aérienne ciblée, marquant le début de combats intenses. Une offensive terrestre a immédiatement suivi pour poursuivre et neutraliser les assaillants, qui tentaient de fuir dans les profondeurs de la forêt. Les opérations se sont poursuivies toute la nuit, avec un ratissage systématique des zones suspectes.
Plusieurs dizaines de terroristes ont été neutralisés, selon le bilan provisoire communiqué par les forces engagées. En plus des pertes humaines infligées aux groupes armés, une importante logistique a été saisie sur les lieux, constituée notamment d’armes, de munitions, de motos et d’équipements de communication.
Cette opération confirme la capacité de riposte et de projection des forces burkinabè, dans un contexte sécuritaire toujours tendu dans le sud-ouest du pays. La proximité de la frontière ivoirienne a longtemps fait de cette zone un couloir d’infiltration et de repli pour les groupes terroristes actifs au Sahel.
Les autorités burkinabè n’ont pas encore communiqué de bilan officiel définitif, mais saluent déjà une opération réussie qui vient renforcer les efforts de sécurisation dans les régions frontalières.
Selon des sources sécuritaires, cette offensive a été déclenchée à la suite d’un renseignement faisant état d’une menace planifiée contre la ville de Banfora et ses environs. Baptisée « Tourbillon vert 3 », l’opération a mobilisé des unités du 2e Groupement d’intervention rapide (GIR) et du 7e Bataillon d’intervention rapide (BIR), appuyées par des vecteurs aériens.
Le premier assaut a été lancé à 14h26 avec une frappe aérienne ciblée, marquant le début de combats intenses. Une offensive terrestre a immédiatement suivi pour poursuivre et neutraliser les assaillants, qui tentaient de fuir dans les profondeurs de la forêt. Les opérations se sont poursuivies toute la nuit, avec un ratissage systématique des zones suspectes.
Plusieurs dizaines de terroristes ont été neutralisés, selon le bilan provisoire communiqué par les forces engagées. En plus des pertes humaines infligées aux groupes armés, une importante logistique a été saisie sur les lieux, constituée notamment d’armes, de munitions, de motos et d’équipements de communication.
Cette opération confirme la capacité de riposte et de projection des forces burkinabè, dans un contexte sécuritaire toujours tendu dans le sud-ouest du pays. La proximité de la frontière ivoirienne a longtemps fait de cette zone un couloir d’infiltration et de repli pour les groupes terroristes actifs au Sahel.
Les autorités burkinabè n’ont pas encore communiqué de bilan officiel définitif, mais saluent déjà une opération réussie qui vient renforcer les efforts de sécurisation dans les régions frontalières.