🔵⚪ Basile Boli calme la tempête après ses propos sur le PSG : « Je suis marseillais à la vie à la mort »
Basile Boli, légende de l’Olympique de Marseille et héros de la finale de Ligue des champions 1993, a tenu à clarifier ses propos après avoir provoqué une onde de choc chez les supporters marseillais. En cause, sa déclaration récente sur son soutien au Paris Saint-Germain lors de la finale de Ligue des champions face à l’Inter Milan, qui a fait grincer bien des dents, notamment celle de son ancien coéquipier Éric Di Meco.
Interrogé dans l’émission Mission Info de France Télévisions, l’ancien défenseur avait déclaré : « Je suis derrière le Paris Saint-Germain parce que représenter la France, c’est quelque chose d’important pour moi. » Un soutien inattendu, venant d’un homme dont la tête victorieuse face à l’AC Milan (1-0) en 1993 est gravée à jamais dans le cœur des fans de l’OM.
Face à la polémique, Boli a pris la parole dans La Provence pour apaiser les tensions. « Il s’agissait d’une émission réservée aux enfants âgés entre 7 et 11 ans, quelque chose de léger », a-t-il précisé. « Mes déclarations ont été mal comprises. J’ai peut-être vexé pas mal de personnes, mais je ne soutiens personne et, surtout, je ne suis pas fâché avec l’OM. »
L’ancien international français insiste sur son attachement indéfectible à l’OM. « Cela fait 32 ans qu’une équipe française n’a pas remporté la Ligue des champions. Je suis marseillais à la vie à la mort, mais je suis français d’abord. […] Je le répète, je n’ai pas dit ça pour soutenir Paris. »
Il prend un exemple pour illustrer son propos : « Quand, au tennis, Nadal affronte Monfils, je supporte Monfils parce qu’il est français, même si l’adversaire est plus fort. »
Boli conclut en recentrant le débat sur l’essentiel : « Le plus important pour moi, c’est que les Olympiens retrouvent la Ligue des champions la saison prochaine. »
Si ses mots ont blessé, l’homme au but historique entend rappeler qu’au fond, son cœur reste bleu et blanc. Une mise au point qui pourrait ramener un peu de calme au Vélodrome… à condition que l’OM ne croise pas la route du PSG trop tôt.
Basile Boli, légende de l’Olympique de Marseille et héros de la finale de Ligue des champions 1993, a tenu à clarifier ses propos après avoir provoqué une onde de choc chez les supporters marseillais. En cause, sa déclaration récente sur son soutien au Paris Saint-Germain lors de la finale de Ligue des champions face à l’Inter Milan, qui a fait grincer bien des dents, notamment celle de son ancien coéquipier Éric Di Meco.
Interrogé dans l’émission Mission Info de France Télévisions, l’ancien défenseur avait déclaré : « Je suis derrière le Paris Saint-Germain parce que représenter la France, c’est quelque chose d’important pour moi. » Un soutien inattendu, venant d’un homme dont la tête victorieuse face à l’AC Milan (1-0) en 1993 est gravée à jamais dans le cœur des fans de l’OM.
Face à la polémique, Boli a pris la parole dans La Provence pour apaiser les tensions. « Il s’agissait d’une émission réservée aux enfants âgés entre 7 et 11 ans, quelque chose de léger », a-t-il précisé. « Mes déclarations ont été mal comprises. J’ai peut-être vexé pas mal de personnes, mais je ne soutiens personne et, surtout, je ne suis pas fâché avec l’OM. »
L’ancien international français insiste sur son attachement indéfectible à l’OM. « Cela fait 32 ans qu’une équipe française n’a pas remporté la Ligue des champions. Je suis marseillais à la vie à la mort, mais je suis français d’abord. […] Je le répète, je n’ai pas dit ça pour soutenir Paris. »
Il prend un exemple pour illustrer son propos : « Quand, au tennis, Nadal affronte Monfils, je supporte Monfils parce qu’il est français, même si l’adversaire est plus fort. »
Boli conclut en recentrant le débat sur l’essentiel : « Le plus important pour moi, c’est que les Olympiens retrouvent la Ligue des champions la saison prochaine. »
Si ses mots ont blessé, l’homme au but historique entend rappeler qu’au fond, son cœur reste bleu et blanc. Une mise au point qui pourrait ramener un peu de calme au Vélodrome… à condition que l’OM ne croise pas la route du PSG trop tôt.