Perdant son poste de député en raison de sa condamnation dans l'affaire Ndiaga Diouf, Barthélémy Dias fait face à une situation encore plus délicate. Ce lundi, il a tenu une conférence de presse pour accuser le nouveau régime de comploter contre lui.
« On évoque également la contrainte par corps dans l’affaire Ndiaga Diouf pour m’envoyer en prison et me révoquer de la mairie de Dakar », a rappelé Barthélémy Dias. « Vous n’êtes pas élus pour combattre Barthélémy Dias. Occupez-vous des problèmes des Sénégalais et laissez-moi tranquille. Je vous donne rendez-vous en 2029. »
Concernant sa radiation de l’Assemblée nationale, Barthélémy Dias envisage de déposer un recours, bien qu’il ne prévoie pas de siéger. Selon lui, sa condamnation, qui date de 2017, a dépassé le délai légal de cinq ans.
Barthélémy Dias a également interpellé le ministre de la Justice sur ce qu'il qualifie d’acharnement contre sa personne : « Ce n’est pas parce que le prince a parlé, que vous, ministre, ne faites pas votre travail, que vous devez vous donner en spectacle. Vous avez été procureur de la République, vous êtes magistrat, et vous connaissez bien le dossier de la fusillade de Sacré-Cœur Mermoz. Et vous savez très bien si j’ai été provoqué ou non », a-t-il déclaré.
« On évoque également la contrainte par corps dans l’affaire Ndiaga Diouf pour m’envoyer en prison et me révoquer de la mairie de Dakar », a rappelé Barthélémy Dias. « Vous n’êtes pas élus pour combattre Barthélémy Dias. Occupez-vous des problèmes des Sénégalais et laissez-moi tranquille. Je vous donne rendez-vous en 2029. »
Concernant sa radiation de l’Assemblée nationale, Barthélémy Dias envisage de déposer un recours, bien qu’il ne prévoie pas de siéger. Selon lui, sa condamnation, qui date de 2017, a dépassé le délai légal de cinq ans.
Barthélémy Dias a également interpellé le ministre de la Justice sur ce qu'il qualifie d’acharnement contre sa personne : « Ce n’est pas parce que le prince a parlé, que vous, ministre, ne faites pas votre travail, que vous devez vous donner en spectacle. Vous avez été procureur de la République, vous êtes magistrat, et vous connaissez bien le dossier de la fusillade de Sacré-Cœur Mermoz. Et vous savez très bien si j’ai été provoqué ou non », a-t-il déclaré.