Un communiqué de presse conjoint a été publié à l'issue des négociations entre les Ministres des Affaires Étrangères de la Confédération AES (Alliance des États Souverains) et le Président de la Commission de la CEDEAO, tenues à Bamako, capitale de la République du Mali. Ces consultations font suite au retrait de plusieurs pays membres de la Confédération AES de la Communauté Économique des États de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), une décision qui a profondément modifié les relations diplomatiques et économiques au sein de la sous-région.
Le contexte du départ des pays membres de l'AES de la CEDEAO
Le départ des pays membres de l'AES de la CEDEAO trouve ses racines dans des divergences de vision concernant l'approfondissement de l'intégration sous-régionale et la gestion des crises politiques et sécuritaires. En effet, plusieurs États de la Confédération ont exprimé leur mécontentement face aux décisions prises par la CEDEAO, jugées trop centralisées et parfois éloignées des réalités locales. Ce retrait a marqué un tournant dans la dynamique régionale, incitant à une réévaluation des relations et à la recherche de nouvelles voies de coopération entre ces nations.
Les négociations en cours
Le communiqué met en lumière l'importance des consultations menées à Bamako, marquées par la volonté des deux parties d’engager des négociations constructives. "Nous avons abordé des questions essentielles concernant les aspects politiques, diplomatiques, administratifs, juridiques, sécuritaires et de développement économique et social", a indiqué le communiqué. Il est également précisé que la libre circulation des personnes et des biens, un acquis majeur de l'intégration régionale, restera une priorité dans les futures discussions, même si de nouveaux accords devront être conclus.
Une des préoccupations majeures soulevées durant ces échanges a été la sécurité de la sous-région. Les deux parties ont exprimé une volonté commune de renforcer la coopération en matière de lutte contre le terrorisme. "Nous avons convenu de l’urgence de travailler à créer les conditions nécessaires pour une coopération efficace dans le cadre de la lutte contre le terrorisme", ont affirmé les parties dans le communiqué.
Les consultations ont été caractérisées par un esprit de fraternité et de responsabilité, un gage de l'importance accordée à l'unité et au bien-être des populations ouest-africaines. "Nous saluons l'esprit de fraternité et de responsabilité qui a animé ces premiers échanges directs", ont-ils souligné. Les deux parties ont convenu de poursuivre les échanges dans cette même dynamique, guidées en permanence par les intérêts supérieurs des peuples de la région. "Les discussions continueront en mettant toujours en avant l’intérêt supérieur des populations ouest-africaines", ont ajouté les signataires.
Le contexte du départ des pays membres de l'AES de la CEDEAO
Le départ des pays membres de l'AES de la CEDEAO trouve ses racines dans des divergences de vision concernant l'approfondissement de l'intégration sous-régionale et la gestion des crises politiques et sécuritaires. En effet, plusieurs États de la Confédération ont exprimé leur mécontentement face aux décisions prises par la CEDEAO, jugées trop centralisées et parfois éloignées des réalités locales. Ce retrait a marqué un tournant dans la dynamique régionale, incitant à une réévaluation des relations et à la recherche de nouvelles voies de coopération entre ces nations.
Les négociations en cours
Le communiqué met en lumière l'importance des consultations menées à Bamako, marquées par la volonté des deux parties d’engager des négociations constructives. "Nous avons abordé des questions essentielles concernant les aspects politiques, diplomatiques, administratifs, juridiques, sécuritaires et de développement économique et social", a indiqué le communiqué. Il est également précisé que la libre circulation des personnes et des biens, un acquis majeur de l'intégration régionale, restera une priorité dans les futures discussions, même si de nouveaux accords devront être conclus.
Une des préoccupations majeures soulevées durant ces échanges a été la sécurité de la sous-région. Les deux parties ont exprimé une volonté commune de renforcer la coopération en matière de lutte contre le terrorisme. "Nous avons convenu de l’urgence de travailler à créer les conditions nécessaires pour une coopération efficace dans le cadre de la lutte contre le terrorisme", ont affirmé les parties dans le communiqué.
Les consultations ont été caractérisées par un esprit de fraternité et de responsabilité, un gage de l'importance accordée à l'unité et au bien-être des populations ouest-africaines. "Nous saluons l'esprit de fraternité et de responsabilité qui a animé ces premiers échanges directs", ont-ils souligné. Les deux parties ont convenu de poursuivre les échanges dans cette même dynamique, guidées en permanence par les intérêts supérieurs des peuples de la région. "Les discussions continueront en mettant toujours en avant l’intérêt supérieur des populations ouest-africaines", ont ajouté les signataires.