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"Ahmed Khalifa Niasse, un mercenaire pervers"

Samedi 6 Octobre 2018

Dans l’Adn de Pastef et de son leader, le débat porte sur les idées. Mais lorsque le débat tourne sur la foi de Ousmane Sonko, Bassirou Diomaye Faye, responsable des cadres, digresse pour répliquer virulemment aux détracteurs de son mentor. Dans son tableau de chasse, Ahmed Khalifa Niasse, le député Abdou Lahad Seck Sadaga et autres.
"Je relève simplement que la mouvance présidentielle est en train de délirer suite au coup de massue né du succès de la mobilisation du 16 septembre dernier à la Place de l’Obélisque, mais ils n’ont encore rien vu. Ahmed Khalifa Niasse est un mercenaire pervers, un élément du système que nous combattons et qui cherche, comme toutes les autres composantes du système, à survivre. Ahmed Khalifa Niasse est quelqu’un à qui on a envoyé une invitation lors de la présentation du livre-vision, comme on l’a fait avec d’autres autorités religieuses. Ce qui aurait dû lui suffire comme gage d’ouverture de notre part, s’il n’était pas de mauvaise foi", a t-il révélé.

 
Pour le patron des cadres de Pastef,  «  Le Peuple Sénégalais est mature et lucide. Et tous ceux qui cherchent à jeter le discrédit sur Ousmane Sonko sont des gens dont la parole n’a plus aucune valeur, tellement ils se sont reniés. C’est une abomination que de se faire filmer en train de dire des contrevérités en toute conscience, comme l’a fait Sadaga, (le député Apériste Abdou Lahad Seck). Il en est de même de Ahmed Khalifa qui écrit de pures inventions pour les diffuser sachant qu’elles resteront pour la postérité. Donc ces attaques, loin de nous affaiblir, nous renforcent » a-t-il dit dans les colonnes du Quotidien « le quotidien ».

M. Faye précise qu’ il «  s’agit d’élire un Président et non un imam. Entre 2017 et 2018, Ousmane Sonko est parti à la rencontre de plusieurs familles religieuses, toutes obédiences confrériques confondues, pour présenter notre parti. A Touba par exemple, il a eu l’insigne honneur d’être reçu par le khalife Serigne Mountakha Mbacké en dehors des jours d’audience. Après une longue entrevue, il a prié derrière le saint homme qui lui a offert un copieux repas. Aucun homme politique n’a eu ce privilège. Serigne Maodo Sy, fils du vénéré Serigne Abdoul Aziz Sy Dabakh, a accueilli Ousmane Sonko en lui disant : «Sama doom, sa soppé.» L’accueil de Médina Baye reste dans la même trajectoire. Je l’ai accompagné récemment chez les Layènes lors de la célébration de la journée de Nguédiaga à Malika et chez l’archevêque de Dakar, monseigneur Benjamin Ndiaye. Dans son livre-vision, Sonko a dit que notre laïcité ne doit pas être comprise dans le sens de celle qui exclut la religion des affaires publiques. Il s’agit d’une laïcité qui institutionnalise les rapports entre l’Etat et la religion et dans laquelle l’Etat va subventionner le culte. Sincèrement, on ne peut pas accuser cet homme de sectarisme. »

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