L'Intersyndicale des enseignants de Ziguinchor, regroupant plusieurs syndicats du secteur éducatif, a fermement condamné l'agression dont a été victime l’un de ses membres, Sidy Goudiaby, enseignant à l’école élémentaire de Belfort. L'incident a eu lieu le vendredi 21 mars 2025 dans l'après-midi, alors que l'enseignant dispensait des cours de renforcement aux élèves du CM2.
Dans un communiqué de presse, l’Intersyndicale a qualifié cet acte de "barbare", affirmant que "cet acte d’une gravité extrême constitue une atteinte intolérable à l’intégrité et à la dignité de l’ensemble du personnel éducatif". Selon le texte, l’agression a été commise par un jeune du quartier, dans des circonstances qui restent encore floues.
En réaction à cet événement choquant, l’Intersyndicale a annoncé une série de mesures, dont une grève totale prévue pour le lundi 24 mars 2025. "Face à cette situation, et en l'absence de mesures immédiates et concrètes pour garantir la sécurité des enseignants dans l’exercice de leurs fonctions, l’Intersyndicale décrète un mot d’ordre de grève", ont déclaré les syndicats dans leur communiqué.
La grève sera suivie d’un rassemblement et d'une déclaration officielle au siège de la CNTS (Confédération Nationale des Travailleurs du Sénégal), situé à la Bourse du travail. L’Intersyndicale exige des autorités académiques et administratives "une réaction immédiate afin que justice soit faite et que de véritables mesures de protection soient mises en place pour garantir l’intégrité physique et morale des enseignants."
Les syndicats ont souligné qu'ils restent "mobilisés et déterminés à défendre les droits des enseignants et la dignité du corps éducatif". Ils ont également appelé tous les enseignants à "rester solidaires et à observer scrupuleusement le mot d’ordre", insistant sur le fait que "enseigner dans la dignité et la sécurité est un droit inaliénable".
Dans un communiqué de presse, l’Intersyndicale a qualifié cet acte de "barbare", affirmant que "cet acte d’une gravité extrême constitue une atteinte intolérable à l’intégrité et à la dignité de l’ensemble du personnel éducatif". Selon le texte, l’agression a été commise par un jeune du quartier, dans des circonstances qui restent encore floues.
En réaction à cet événement choquant, l’Intersyndicale a annoncé une série de mesures, dont une grève totale prévue pour le lundi 24 mars 2025. "Face à cette situation, et en l'absence de mesures immédiates et concrètes pour garantir la sécurité des enseignants dans l’exercice de leurs fonctions, l’Intersyndicale décrète un mot d’ordre de grève", ont déclaré les syndicats dans leur communiqué.
La grève sera suivie d’un rassemblement et d'une déclaration officielle au siège de la CNTS (Confédération Nationale des Travailleurs du Sénégal), situé à la Bourse du travail. L’Intersyndicale exige des autorités académiques et administratives "une réaction immédiate afin que justice soit faite et que de véritables mesures de protection soient mises en place pour garantir l’intégrité physique et morale des enseignants."
Les syndicats ont souligné qu'ils restent "mobilisés et déterminés à défendre les droits des enseignants et la dignité du corps éducatif". Ils ont également appelé tous les enseignants à "rester solidaires et à observer scrupuleusement le mot d’ordre", insistant sur le fait que "enseigner dans la dignité et la sécurité est un droit inaliénable".