Accusé de détournement de fonds publics, Baltasar Ebang Engonga, alias « Bello », l’ancien directeur de l’Agence nationale d’investigation financière (Anif) est placé en détention préventive en septembre 2024. Deux mois plus tard, l’affaire bascule dans le scandale lorsque des centaines de vidéos intimes de lui avec des femmes, équato-guinéennes et étrangères, sont diffusées sur les réseaux sociaux.
Ces vidéos, tournées dans ses propres bureaux, ont fuité après la saisie de ses ordinateurs par les autorités judiciaires. Rapidement, les soupçons se portent sur Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit Teodorín, vice-président et rival potentiel du père de Bello, Baltasar Engonga Edjo’o, dans la course à la succession du président Obiang Nguema Mbasogo. L’ONG Nexos GE, dirigée par l’exilé Juan Carlos Ondo Angue, accuse ouvertement Teodorín d’avoir orchestré la divulgation des vidéos pour décrédibiliser la famille Engonga.
Alors qu’il attend son procès pour avoir prétendument transféré des sommes d’argent vers des comptes aux Îles Caïmans, l’ancien directeur de l’Agence nationale d’investigations financières (ANIF) se retrouve au centre d’une affaire encore plus explosive.
Dans sa cellule, Bello aurait subi des pressions et des violences de la part d’hommes envoyés par le général Jesús Edu Moto et, selon plusieurs sources, par Teodoro Nguema Obiang Mangue lui-même. Ces sévices l’auraient contraint à une hospitalisation temporaire avant son retour en prison.
L’affaire, loin d’être close, pourrait bien redistribuer les cartes au sein du régime équato-guinéen, alors que la question de la succession d’Obiang Nguema Mbasogo reste plus que jamais d’actualité.
Ces vidéos, tournées dans ses propres bureaux, ont fuité après la saisie de ses ordinateurs par les autorités judiciaires. Rapidement, les soupçons se portent sur Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit Teodorín, vice-président et rival potentiel du père de Bello, Baltasar Engonga Edjo’o, dans la course à la succession du président Obiang Nguema Mbasogo. L’ONG Nexos GE, dirigée par l’exilé Juan Carlos Ondo Angue, accuse ouvertement Teodorín d’avoir orchestré la divulgation des vidéos pour décrédibiliser la famille Engonga.
Alors qu’il attend son procès pour avoir prétendument transféré des sommes d’argent vers des comptes aux Îles Caïmans, l’ancien directeur de l’Agence nationale d’investigations financières (ANIF) se retrouve au centre d’une affaire encore plus explosive.
Dans sa cellule, Bello aurait subi des pressions et des violences de la part d’hommes envoyés par le général Jesús Edu Moto et, selon plusieurs sources, par Teodoro Nguema Obiang Mangue lui-même. Ces sévices l’auraient contraint à une hospitalisation temporaire avant son retour en prison.
L’affaire, loin d’être close, pourrait bien redistribuer les cartes au sein du régime équato-guinéen, alors que la question de la succession d’Obiang Nguema Mbasogo reste plus que jamais d’actualité.