Me Dior Diagne contre attaque en justice. Suite aux nombreuses allégations tendant à la désigner comme étant l’auteur de la plainte de Adji Sarr contre Ousmane Sonko, l’avocate porte l’affaire devant la justice. Ce vendredi, 12 février, l’avocate a saisi la Brigade spéciale de lutte contre la cybercriminalité.
« II m’a été donné de constater que ce matin du vendredi 12 février 2021 des informations circulent sur les réseaux sociaux selon lesquelles j’aurais rédigé à une heure du matin, la plainte déposée par Madame Adji Sarr dans une affaire de moeurs qui défraie la chronique actuellement. Selon les mêmes informations j’aurais même hébergé Madame Adji Sarr à mon domicile. De telles affirmations mensongères ont fait l’objet de nombreux partages dans les réseaux sociaux », relève l’avocate.
Qui tient à préciser que : « ces allégations ne sont sorties que de l’imaginaire fertile et de leurs rédacteurs. Je ne connais pas Adji Sarr, je n’ai rédigé aucune plainte pour son compte et je ne l’ai jamais hébergé chez moi. Je l’aurais fait, je l’aurais assumé publiquement et en toute responsabilité. »
Me Dior Diagne estime que de telles allégations « ternissent son image et sont de nature à ternir son honneur et sa réputation ». Par conséquent, elle invoque les articles 258 et 431-27 du code pénal qui punissent la diffamation et la collecte illicite de données à caractère personnels.
Dans cette affaire de moeurs, Adji Sarr, une masseuse de 21 ans accuse le député de Pastef Ousmane Sonko de viol et menaces de mort. La procédure de levée de l’immunité parlementaire du député est enclenchée. La commission des lois de l’Assemblée nationale se réunit ce lundi.
Emedia.sn
« II m’a été donné de constater que ce matin du vendredi 12 février 2021 des informations circulent sur les réseaux sociaux selon lesquelles j’aurais rédigé à une heure du matin, la plainte déposée par Madame Adji Sarr dans une affaire de moeurs qui défraie la chronique actuellement. Selon les mêmes informations j’aurais même hébergé Madame Adji Sarr à mon domicile. De telles affirmations mensongères ont fait l’objet de nombreux partages dans les réseaux sociaux », relève l’avocate.
Qui tient à préciser que : « ces allégations ne sont sorties que de l’imaginaire fertile et de leurs rédacteurs. Je ne connais pas Adji Sarr, je n’ai rédigé aucune plainte pour son compte et je ne l’ai jamais hébergé chez moi. Je l’aurais fait, je l’aurais assumé publiquement et en toute responsabilité. »
Me Dior Diagne estime que de telles allégations « ternissent son image et sont de nature à ternir son honneur et sa réputation ». Par conséquent, elle invoque les articles 258 et 431-27 du code pénal qui punissent la diffamation et la collecte illicite de données à caractère personnels.
Dans cette affaire de moeurs, Adji Sarr, une masseuse de 21 ans accuse le député de Pastef Ousmane Sonko de viol et menaces de mort. La procédure de levée de l’immunité parlementaire du député est enclenchée. La commission des lois de l’Assemblée nationale se réunit ce lundi.
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