En annonçant leur référé liberté introduit contre la décision de la Direction générale des élections de refuser les formulaires de parrainages à Ousmane Sonko, Juan Branco déclarait que ses confrères membres du pool d’avocats de Ousmane Sonko «sont de facto empêchés de s'exprimer publiquement par leur bâtonnier depuis bientôt six mois, qui refuse de répondre à toutes leurs demandes d'autorisation d'expression.» L’ordre des avocats du Sénégal lui a répondu.
Juan Branco avait déclaré que le bâtonnier de l’ordre des avocats du Sénégal empêchait les avocats de Sonko de s’exprimer, à chaque fois qu’ils voulaient s’exprimer publiquement. Une accusation à laquelle le secrétaire général de l’ordre a répondu.
«Combien de conférences de presse avons-nous autorisées ? Quand ils ont voulu contredire le ministre de la Justice, ils n'ont pas obtenu d'autorisation ? Pourquoi refuserait-on une demande qui serait dans les limites de nos règles ? Maintenant, on ne peut pas autoriser un avocat pour qu'il dise n'importe quoi», a répliqué Me Ibrahima Ndiéguène dans les colonnes de «Les Echos». M. Ndiéguène précise cependant, que lors de ces échanges face à la presse, «les propos doivent être courtois et il (L’avocat) doit respecter l'autre aussi».
Juan Branco avait déclaré que le bâtonnier de l’ordre des avocats du Sénégal empêchait les avocats de Sonko de s’exprimer, à chaque fois qu’ils voulaient s’exprimer publiquement. Une accusation à laquelle le secrétaire général de l’ordre a répondu.
«Combien de conférences de presse avons-nous autorisées ? Quand ils ont voulu contredire le ministre de la Justice, ils n'ont pas obtenu d'autorisation ? Pourquoi refuserait-on une demande qui serait dans les limites de nos règles ? Maintenant, on ne peut pas autoriser un avocat pour qu'il dise n'importe quoi», a répliqué Me Ibrahima Ndiéguène dans les colonnes de «Les Echos». M. Ndiéguène précise cependant, que lors de ces échanges face à la presse, «les propos doivent être courtois et il (L’avocat) doit respecter l'autre aussi».