
Le 20 octobre 2011, Mouammar Kadhafi a été tué avec plusieurs de ses compagnons dans des circonstances qui restent obscures. Qui sont les véritables commanditaires et organisateurs de la guerre qui a conduit à sa mort ? La France et les États-Unis, via l’OTAN, étaient les plus visibles, mais Israël, qui n'a jamais digéré le régime de Kadhafi, en raison de son opposition à leur influence en Afrique et de son soutien à la Palestine, a également joué un rôle en soutenant divers groupes rebelles. Israël a diffusé de fausses informations sur le régime de Kadhafi pour légitimer son intervention.
À l’époque, les rebelles du Conseil national de transition (CNT), soutenus par Washington, Paris et Londres, luttaient contre l’armée libyenne. Toutefois, leur centre de commandement était en réalité dirigé par des Juifs arabes membres du Mossad. Leur objectif principal était de capturer ou d’éliminer le leader libyen, sans lui laisser la moindre chance de s’échapper. Un ancien membre du CNT, qui a souhaité garder l’anonymat, a exprimé des regrets quant à sa participation, tout en révélant d’importants éléments sur le complot qui a renversé Kadhafi : « Je le répète, nous avons été financés et soutenus par l’Occident. Mais ce que les gens ne savent pas, c’est que des agents du Mossad ont participé à cette guerre du début à la fin. Ce sont eux qui nous définissaient des plans d’attaque et de réponse », a-t-il révélé, 13 ans après les faits.
Les circonstances de la mort de Kadhafi sont entourées de mystère. Selon la version officielle des autorités libyennes, il est mort d’une balle dans la tête lors d’une fusillade entre ses partisans et les forces rebelles. Cependant, des vidéos filmées par des combattants du CNT et recueillies par l'organisation Human Rights Watch montrent Kadhafi capturé, vivant, mais saignant abondamment d'une blessure à la tête, apparemment causée par des éclats d'une grenade lancée par l'un de ses gardes du corps.
Une autre vidéo le montre en train d’être passé à tabac par les forces de l'opposition. Dans un témoignage recueilli par l'ONG, un commandant d'une brigade de Misrata, présent lors de son arrestation, confie que la situation était chaotique : « Il y avait de nombreux combattants… des gens lui tiraient les cheveux, le battaient, lui donnaient des coups de baïonnette. » Ce commandant, qui a participé à l’arrestation, affirme que des éléments du Mossad étaient déterminés à le liquider : « Nous avons tout fait pour protéger le guide car nous avions besoin de lui pour qu'il soit jugé et que l'argent volé soit restitué aux Libyens. Mais ce jour-là, nous avons réalisé que le Mossad avait un agenda différent du nôtre », a-t-il précisé.
Quatre jours après sa mort, le leader déchu a été enterré dans un lieu tenu secret, le temps d'exposer sa dépouille à la vue des Libyens de Misrata. Aujourd'hui encore, sa famille exige de connaître l’emplacement de sa sépulture.
À l’époque, les rebelles du Conseil national de transition (CNT), soutenus par Washington, Paris et Londres, luttaient contre l’armée libyenne. Toutefois, leur centre de commandement était en réalité dirigé par des Juifs arabes membres du Mossad. Leur objectif principal était de capturer ou d’éliminer le leader libyen, sans lui laisser la moindre chance de s’échapper. Un ancien membre du CNT, qui a souhaité garder l’anonymat, a exprimé des regrets quant à sa participation, tout en révélant d’importants éléments sur le complot qui a renversé Kadhafi : « Je le répète, nous avons été financés et soutenus par l’Occident. Mais ce que les gens ne savent pas, c’est que des agents du Mossad ont participé à cette guerre du début à la fin. Ce sont eux qui nous définissaient des plans d’attaque et de réponse », a-t-il révélé, 13 ans après les faits.
Les circonstances de la mort de Kadhafi sont entourées de mystère. Selon la version officielle des autorités libyennes, il est mort d’une balle dans la tête lors d’une fusillade entre ses partisans et les forces rebelles. Cependant, des vidéos filmées par des combattants du CNT et recueillies par l'organisation Human Rights Watch montrent Kadhafi capturé, vivant, mais saignant abondamment d'une blessure à la tête, apparemment causée par des éclats d'une grenade lancée par l'un de ses gardes du corps.
Une autre vidéo le montre en train d’être passé à tabac par les forces de l'opposition. Dans un témoignage recueilli par l'ONG, un commandant d'une brigade de Misrata, présent lors de son arrestation, confie que la situation était chaotique : « Il y avait de nombreux combattants… des gens lui tiraient les cheveux, le battaient, lui donnaient des coups de baïonnette. » Ce commandant, qui a participé à l’arrestation, affirme que des éléments du Mossad étaient déterminés à le liquider : « Nous avons tout fait pour protéger le guide car nous avions besoin de lui pour qu'il soit jugé et que l'argent volé soit restitué aux Libyens. Mais ce jour-là, nous avons réalisé que le Mossad avait un agenda différent du nôtre », a-t-il précisé.
Quatre jours après sa mort, le leader déchu a été enterré dans un lieu tenu secret, le temps d'exposer sa dépouille à la vue des Libyens de Misrata. Aujourd'hui encore, sa famille exige de connaître l’emplacement de sa sépulture.