Menu





Mali: le nouveau ministre de la Défense cité dans le "massacre" des "Bérets rouges"

Mardi 7 Mai 2019

Mali: le nouveau ministre de la Défense cité dans le "massacre" des "Bérets rouges"
Au Mali, la nomination du nouveau gouvernement, dimanche 5 mai, suscite des réactions à commencer par la désignation du général Ibrahim Dahirou Dembele, au ministère de la Défense. Un poste-clé au vu de la crise sécuritaire actuelle. 
 
A Bamako, certains vante ses valeurs incontestables et sa rigueur, mais des voix s'élèvent pour s'étonner de cette nomination. 
  
Ibrahim Dahirou Dembélé était membre de la junte qui a pris le pouvoir en 2012 et précisément chef d'état-major à l'époque de l'affaire dite des « Bérets rouges », ces 21 militaires de l'armée régulière qui ont été assassinés après avoir tenté un contre-coup d'Etat. 
  
Cité dans l'affaire, il est accusé de « complicité passive » et bénéficie d'une liberté provisoire en attendant que le procès ait lieu. Un statut suffisant pour les familles des victimes pour ne pas le nommer à de nouvelles responsabilités. Des familles qui craignent aussi que cette nomination retarde encore plus la tenue du procès. 
  
RFI a interrogé le colonel-major Soungalo Coulibaly, qui a perdu son neveu. Il est membre du collectif qui regroupe les familles des bérets rouges disparus.

Nouveau commentaire :



AUTRES INFOS

Liga : les Blaugrana poursuivent leur série victorieuse

Retour de Salah, doublé d’Ekitike : Liverpool trop fort pour Brighton

Liverpool : Mohamed Salah réintégré contre Brighton après une sanction disciplinaire

Critiquée sur ses photos, Chrisy Chris oppose la sérénité et l’acceptation de soi

Pape Thiaw : « Je ne m’inquiète pas pour ces jeunes »

CAN 2025 : Pape Thiaw sécurise son effectif avec cinq réservistes

CAN 2025 : voici la liste des 28 joueurs, Pape Thiaw sort l’artillerie lourde

CAN 2025 : voici la liste des 28 Lions retenus par Pape Thiaw

Vidéo : Liste des Lions, surprises, clash ministère des sports-Cnoss

Loi sur le viol : « Elle remplit nos prisons d’innocents », selon le député Ousmane Diop