Les cadres de Gueum Sa Bopp ont sonné une alarme politique d’une rare gravité. « Les engagements pris devant le peuple sont restés sans suite ni réforme significative », a-t-il dit, lit-on dans le communiqué.
Le document rappelle que « en moins de deux ans, le bilan de gouvernance est préoccupant : dégradation des institutions, récession économique, augmentation du chômage ». Pour les cadres, il s’agit d’une « fuite en avant pour des calculs purement électoralistes », avertissent-ils dans le communiqué.
Les “3i” qui minent l’État
Le mouvement accuse le pouvoir d’avoir installé une gouvernance fondée sur « Incompétence, Inexpertise, Irresponsabilité ». Il cite en exemple « des présidents de conseils d’administration sans qualification, des directeurs inexpérimentés parfois anciens stagiaires, des députés incapables de légiférer, des ministres noyés dans leurs contradictions ». Et lorsque la vérité éclate, « le pouvoir ne corrige pas : il accuse, il attaque, il diffame », mentionne le communiqué.
Les responsables parlent d’une « conspiration d’État camouflée par l’échec ».
« Il est devenu impératif d’ouvrir les yeux des Sénégalais sur ce qui se joue réellement dans les coulisses du pouvoir », a-t-il dit. Selon eux, un agenda politique caché est déjà en marche : « création de blocs artificiels, transhumance indirecte, volonté de coupler locales et législatives en 2027, fixation obsessionnelle sur 2029 ». « Gouverner est devenu secondaire. Manœuvrer est devenu prioritaire », lit-on dans le communiqué.
Le mouvement interpelle directement l’exécutif : « Pourquoi ne pas déclassifier immédiatement la note de renseignement évoquée publiquement à propos de Madiambal ? », avertissent les cadres. « L’information est le minimum d’exigence démocratique », a-t-il dit.
Le communiqué poursuit : « Pourquoi autant d’opacité sur l’utilisation du jet privé du Premier ministre ? Qui paie ? Qu’est-ce que l’on dissimule ? ». Et de conclure : « Un pouvoir qui refuse de répondre… répond déjà par son silence ».
Le document rappelle que « en moins de deux ans, le bilan de gouvernance est préoccupant : dégradation des institutions, récession économique, augmentation du chômage ». Pour les cadres, il s’agit d’une « fuite en avant pour des calculs purement électoralistes », avertissent-ils dans le communiqué.
Les “3i” qui minent l’État
Le mouvement accuse le pouvoir d’avoir installé une gouvernance fondée sur « Incompétence, Inexpertise, Irresponsabilité ». Il cite en exemple « des présidents de conseils d’administration sans qualification, des directeurs inexpérimentés parfois anciens stagiaires, des députés incapables de légiférer, des ministres noyés dans leurs contradictions ». Et lorsque la vérité éclate, « le pouvoir ne corrige pas : il accuse, il attaque, il diffame », mentionne le communiqué.
Les responsables parlent d’une « conspiration d’État camouflée par l’échec ».
« Il est devenu impératif d’ouvrir les yeux des Sénégalais sur ce qui se joue réellement dans les coulisses du pouvoir », a-t-il dit. Selon eux, un agenda politique caché est déjà en marche : « création de blocs artificiels, transhumance indirecte, volonté de coupler locales et législatives en 2027, fixation obsessionnelle sur 2029 ». « Gouverner est devenu secondaire. Manœuvrer est devenu prioritaire », lit-on dans le communiqué.
Le mouvement interpelle directement l’exécutif : « Pourquoi ne pas déclassifier immédiatement la note de renseignement évoquée publiquement à propos de Madiambal ? », avertissent les cadres. « L’information est le minimum d’exigence démocratique », a-t-il dit.
Le communiqué poursuit : « Pourquoi autant d’opacité sur l’utilisation du jet privé du Premier ministre ? Qui paie ? Qu’est-ce que l’on dissimule ? ». Et de conclure : « Un pouvoir qui refuse de répondre… répond déjà par son silence ».

