Le président colombien Gustavo Petro a demandé, devant l’Assemblée générale de l’ONU, qu’une « procédure pénale » soit lancée contre Donald Trump après les frappes militaires américaines meurtrières ayant détruit, dans les Caraïbes, des bateaux transportant, selon Washington, de la drogue. Lors de cette intervention, le numéro un colombien a établi un lien direct entre l’ancien président américain et les trafiquants de drogue.
Le dirigeant de gauche a reproché à Donald Trump d’avoir « donné l’ordre » de frapper ces embarcations, ce qui a entraîné la mort de « jeunes voulant simplement échapper à la pauvreté » et qui ne pouvaient pas « se défendre ». « Ils disent que les missiles dans les Caraïbes étaient destinés à lutter contre le trafic de drogue. C’est un mensonge ! », a martelé Gustavo Petro.
Selon lui, les véritables barons de la drogue « ne vivent pas à Bogota mais à Miami, où ils sont les voisins du président des États-Unis. Les narcotrafiquants sont des blancs aux yeux bleus dont la fortune est préservée dans les plus grandes banques du monde », a-t-il révélé, insinuant ainsi l’existence d’un lien entre Donald Trump et les réseaux de trafic international.
Poursuivant ses accusations, le président colombien a ajouté : « Les Américains tirent sur des bateaux de migrants en les accusant de narcotrafiquants, alors que les véritables trafiquants de drogue habitent à New York et passent des accords avec les agences des États-Unis qui leur permettent de poursuivre leur trafic. »
Le dirigeant de gauche a reproché à Donald Trump d’avoir « donné l’ordre » de frapper ces embarcations, ce qui a entraîné la mort de « jeunes voulant simplement échapper à la pauvreté » et qui ne pouvaient pas « se défendre ». « Ils disent que les missiles dans les Caraïbes étaient destinés à lutter contre le trafic de drogue. C’est un mensonge ! », a martelé Gustavo Petro.
Selon lui, les véritables barons de la drogue « ne vivent pas à Bogota mais à Miami, où ils sont les voisins du président des États-Unis. Les narcotrafiquants sont des blancs aux yeux bleus dont la fortune est préservée dans les plus grandes banques du monde », a-t-il révélé, insinuant ainsi l’existence d’un lien entre Donald Trump et les réseaux de trafic international.
Poursuivant ses accusations, le président colombien a ajouté : « Les Américains tirent sur des bateaux de migrants en les accusant de narcotrafiquants, alors que les véritables trafiquants de drogue habitent à New York et passent des accords avec les agences des États-Unis qui leur permettent de poursuivre leur trafic. »

