La tension est montée d’un cran ce mardi matin au terrain de football du quartier Kenia, entre les forces de l'ordre et les transporteurs à la Gare routière de la capitale sud. Les syndicalistes dénoncent une concurrence déloyale en bloquant les véhicules de la nouvelle compagnie routière "Mashallah Transport", perçue comme une menace directe par les transporteurs déjà en activité.
Selon des témoins sur place, les premiers incidents ont éclaté aux alentours de 8 heures, lorsque des travailleurs de la gare ont tenté d’empêcher les véhicules de la nouvelle société de prendre le départ pour sa destination avec ses passagers. Des échanges vifs et des bousculades ont rapidement dégénéré, forçant les forces de l’ordre à intervenir pour rétablir le calme.
Des protestations contre une concurrence jugée déloyale
Les syndicats des travailleurs de la Gare routière dénoncent une décision unilatérale des autorités de transport urbain, qui, selon eux, auraient autorisé cette compagnie sans consulter les professionnels déjà présents sur le site. "On ne peut pas accepter qu’une société débarque ici sans concertation. Cela menace nos emplois et nos revenus", a déclaré Papis Touré, président du regroupement des chauffeurs de la gare routière de Ziguinchor.
Face à la montée des tensions et aux échauffourées qui ont paralysé la gare pendant plusieurs heures, les forces de l’ordre ont été déployées en nombre. Des gaz lacrymogènes ont été utilisés pour disperser les manifestants, entraînant plusieurs interpellations. Selon M. Touré, sept de ses éléments, considérés comme présumés auteurs de l'attaque du véhicule, ont été arrêtés.
Après ces manifestations, les représentants des travailleurs ont été reçus par les autorités et les responsables du transport afin de tenter d’apaiser la situation.
La Gare routière a repris son trafic, mais la situation reste tendue. Les syndicats menacent de durcir le mouvement si leurs revendications ne sont pas prises en compte dans les prochains jours.
Dans la même foulée, le président de l'Union des transporteurs routiers de Ziguinchor a interpellé le maire sur la problématique de l'éclairage et du mauvais état des infrastructures à la gare routière de la capitale du Sud du pays.
Selon des témoins sur place, les premiers incidents ont éclaté aux alentours de 8 heures, lorsque des travailleurs de la gare ont tenté d’empêcher les véhicules de la nouvelle société de prendre le départ pour sa destination avec ses passagers. Des échanges vifs et des bousculades ont rapidement dégénéré, forçant les forces de l’ordre à intervenir pour rétablir le calme.
Des protestations contre une concurrence jugée déloyale
Les syndicats des travailleurs de la Gare routière dénoncent une décision unilatérale des autorités de transport urbain, qui, selon eux, auraient autorisé cette compagnie sans consulter les professionnels déjà présents sur le site. "On ne peut pas accepter qu’une société débarque ici sans concertation. Cela menace nos emplois et nos revenus", a déclaré Papis Touré, président du regroupement des chauffeurs de la gare routière de Ziguinchor.
Face à la montée des tensions et aux échauffourées qui ont paralysé la gare pendant plusieurs heures, les forces de l’ordre ont été déployées en nombre. Des gaz lacrymogènes ont été utilisés pour disperser les manifestants, entraînant plusieurs interpellations. Selon M. Touré, sept de ses éléments, considérés comme présumés auteurs de l'attaque du véhicule, ont été arrêtés.
Après ces manifestations, les représentants des travailleurs ont été reçus par les autorités et les responsables du transport afin de tenter d’apaiser la situation.
La Gare routière a repris son trafic, mais la situation reste tendue. Les syndicats menacent de durcir le mouvement si leurs revendications ne sont pas prises en compte dans les prochains jours.
Dans la même foulée, le président de l'Union des transporteurs routiers de Ziguinchor a interpellé le maire sur la problématique de l'éclairage et du mauvais état des infrastructures à la gare routière de la capitale du Sud du pays.