Comment ne pas ne pas s'en prendre aux " va t' en guerre" droit de l'hommistes que sont la RADHO et Amnisty au Sénégal qui voulaient "vendre la peau de l'ours ( Jammeh) avant de l'avoir tué"?
Voilà un Président élu ( Barro) qui n' a pas encore pris fonction dans un pays qui sort de 22ans de Dictature, où ces organisations font pression sur lui pour traduire devant la CPI, le Président vaincu par les urnes? Ce que ce radicalisme de façade a enfanté, n'est rien d'autre que le réflexe d'auto défense du monstre promu à la déchéance devant la CPI. Jammeh, en acceptant sa défaite sans faire de vague, voulait tenter sa chance pour les Législatives qui allaient se tenir deux mois après sa défaite. Cela donnait un répit pour le Président élu pour s'installer au pouvoir et prendre le destin de son pays en main.
Voilà que les irresponsables, couverts de leur " drapeau droit de l'hommiste" mettent le Président sortant (Jammeh) devant choisir entre la " CPI ou la mort"! Le peuple gambien martyr avail il besoin de leur radicalisme dans cette situation? Le Sénégal et la sous région y gagnent quoi? Il est tant de remettre ces organisations dans leur véritable rôle qui n'est pas de se substituer aux véritables opprimés, mais de se mettre à leur côté pour soutenir les luttes qu'ils ont décidé de mener, au moment qu'ils ont choisi librement. Elles doivent cesser d'assigner à nos peuples des tâches qui ne sont pas manifestement à leur portée, mais qui correspondent à des critères qu'ils doivent porter pour justifier leur gagne pain au près de leurs bailleurs. Il faut qu'elles cessent d'être des " organisations de Défense des objectifs" de leurs bailleurs, sous couvert de "Droits de l'Homme"! La RADHO et Amnisty auront en conscience pour le restant de leur existence, toute goûte de sang versée en Gambie à la suite de leurs exigences démagogiques et contre productives.
Voilà un Président élu ( Barro) qui n' a pas encore pris fonction dans un pays qui sort de 22ans de Dictature, où ces organisations font pression sur lui pour traduire devant la CPI, le Président vaincu par les urnes? Ce que ce radicalisme de façade a enfanté, n'est rien d'autre que le réflexe d'auto défense du monstre promu à la déchéance devant la CPI. Jammeh, en acceptant sa défaite sans faire de vague, voulait tenter sa chance pour les Législatives qui allaient se tenir deux mois après sa défaite. Cela donnait un répit pour le Président élu pour s'installer au pouvoir et prendre le destin de son pays en main.
Voilà que les irresponsables, couverts de leur " drapeau droit de l'hommiste" mettent le Président sortant (Jammeh) devant choisir entre la " CPI ou la mort"! Le peuple gambien martyr avail il besoin de leur radicalisme dans cette situation? Le Sénégal et la sous région y gagnent quoi? Il est tant de remettre ces organisations dans leur véritable rôle qui n'est pas de se substituer aux véritables opprimés, mais de se mettre à leur côté pour soutenir les luttes qu'ils ont décidé de mener, au moment qu'ils ont choisi librement. Elles doivent cesser d'assigner à nos peuples des tâches qui ne sont pas manifestement à leur portée, mais qui correspondent à des critères qu'ils doivent porter pour justifier leur gagne pain au près de leurs bailleurs. Il faut qu'elles cessent d'être des " organisations de Défense des objectifs" de leurs bailleurs, sous couvert de "Droits de l'Homme"! La RADHO et Amnisty auront en conscience pour le restant de leur existence, toute goûte de sang versée en Gambie à la suite de leurs exigences démagogiques et contre productives.

