Face aux crispations politiques et aux querelles personnalisées qui dominent le débat public, une voix citoyenne appelle à un retour à l’essentiel : la raison, la compétence et l’intérêt général. Abdou Khadre Diokhane, préoccupé par la tournure des discussions nationales, invite les Sénégalais à renouer avec la mémoire collective et à orienter l’action publique vers les véritables priorités du pays.
« Quand un peuple est amnésique, l’émotion domine la compétence et la logique. Quand un peuple perd la mémoire collective, les émotions prennent le dessus et la raison se fait rare.» Ces deux constats posent le cadre.
Pour l’auteur, l’absence de mémoire historique et politique ouvre la voie à des affrontements émotionnels, au détriment de débats constructifs. Il regrette que le Sénégal, riche de ses traditions démocratiques, voie émerger une forme d’agitation centrée sur les individus plutôt que sur les enjeux.
Un pays confronté à ses véritables priorités
Pour Abdou Khadre Diokhane, « les réalités de notre pays sont tout autres que les débats personnalisés qui nous animent ». Il cite notamment : l’accès à une éducation de qualité, la création d’emplois pour une jeunesse nombreuse et ambitieuse, une meilleure considération de la Diaspora, moteur économique et culturel, le renforcement de la santé publique, et l’exigence d’une gouvernance transparente.
Autant de défis urgents, impossibles à relever dans un climat dominé par les rancœurs et les passions individuelles.
Raison, compétence et vision : les clés d’un développement durable Selon lui, les enjeux du Sénégal d’aujourd’hui imposent des dirigeants à la fois compétents, expérimentés et guidés par le sens du devoir. « Ces défis ne se résolvent pas avec des querelles de personnes, mais avec des actions collectives, basées sur la compétence et la raison. »
Lorsque l’émotion devient la boussole du pays, explique-t-il, « il est difficile de prendre des décisions éclairées et de travailler vers un développement durable ». D’où l’importance de restaurer une culture nationale fondée sur le discernement, la cohérence et l’intérêt général.
Pour un Sénégal tourné vers l’avenir
L’auteur rappelle que le Sénégal aspire à siéger parmi les grandes nations, et que cet objectif exige des débats substantiels, argumentés et constructifs.
Il appelle à : partager les idées, écouter les experts, privilégier les faits, et mobiliser les forces vives du pays dans un élan collectif. « Un peuple uni peut bâtir un avenir plus juste et prospère pour notre République », insiste-t-il.
Abdou Khadre Diokhane estime néanmoins possible de concilier émotions légitimes et rationalité politique : « Il est possible de trouver un équilibre entre l’émotion et la compétence, en prenant des décisions qui tiennent compte des besoins et des aspirations des citoyens, tout en étant guidées par la raison et la logique. » Il plaide ainsi pour une culture nationale renouvelée, basée sur : la compétence, le patriotisme, la transparence, la responsabilité, et la promotion de dirigeants engagés pour le vivre-ensemble.
« Quand un peuple est amnésique, l’émotion domine la compétence et la logique. Quand un peuple perd la mémoire collective, les émotions prennent le dessus et la raison se fait rare.» Ces deux constats posent le cadre.
Pour l’auteur, l’absence de mémoire historique et politique ouvre la voie à des affrontements émotionnels, au détriment de débats constructifs. Il regrette que le Sénégal, riche de ses traditions démocratiques, voie émerger une forme d’agitation centrée sur les individus plutôt que sur les enjeux.
Un pays confronté à ses véritables priorités
Pour Abdou Khadre Diokhane, « les réalités de notre pays sont tout autres que les débats personnalisés qui nous animent ». Il cite notamment : l’accès à une éducation de qualité, la création d’emplois pour une jeunesse nombreuse et ambitieuse, une meilleure considération de la Diaspora, moteur économique et culturel, le renforcement de la santé publique, et l’exigence d’une gouvernance transparente.
Autant de défis urgents, impossibles à relever dans un climat dominé par les rancœurs et les passions individuelles.
Raison, compétence et vision : les clés d’un développement durable Selon lui, les enjeux du Sénégal d’aujourd’hui imposent des dirigeants à la fois compétents, expérimentés et guidés par le sens du devoir. « Ces défis ne se résolvent pas avec des querelles de personnes, mais avec des actions collectives, basées sur la compétence et la raison. »
Lorsque l’émotion devient la boussole du pays, explique-t-il, « il est difficile de prendre des décisions éclairées et de travailler vers un développement durable ». D’où l’importance de restaurer une culture nationale fondée sur le discernement, la cohérence et l’intérêt général.
Pour un Sénégal tourné vers l’avenir
L’auteur rappelle que le Sénégal aspire à siéger parmi les grandes nations, et que cet objectif exige des débats substantiels, argumentés et constructifs.
Il appelle à : partager les idées, écouter les experts, privilégier les faits, et mobiliser les forces vives du pays dans un élan collectif. « Un peuple uni peut bâtir un avenir plus juste et prospère pour notre République », insiste-t-il.
Abdou Khadre Diokhane estime néanmoins possible de concilier émotions légitimes et rationalité politique : « Il est possible de trouver un équilibre entre l’émotion et la compétence, en prenant des décisions qui tiennent compte des besoins et des aspirations des citoyens, tout en étant guidées par la raison et la logique. » Il plaide ainsi pour une culture nationale renouvelée, basée sur : la compétence, le patriotisme, la transparence, la responsabilité, et la promotion de dirigeants engagés pour le vivre-ensemble.

