Dans la nuit du 3 février 2025, cinq pêcheurs partis de Rufisque à bord de la pirogue n°26337 ont mystérieusement disparu en mer. Leur sortie, initialement prévue pour une seule nuit, s’est transformée en un silence angoissant. Depuis leur départ à 11 heures ce jour-là, ni leurs familles ni leurs proches n'ont eu de leurs nouvelles. Doudou Niang, le propriétaire de l’embarcation, devait rentrer le 4 février, mais aucun des pêcheurs – Doudou Niang, Mohamed Niang, Yaya Diallo, Yoro Ba et Mamadou Tine – n’a donné signe de vie. Leur pirogue demeure introuvable, plongeant leurs proches dans l’inquiétude.
D'après seneweb, l’angoisse est palpable parmi les familles des disparus. Abdoulaye Diouf, oncle de Mamadou Tine, exprime son désarroi : « Nous sommes très inquiets et demandons aux autorités de tout mettre en œuvre pour retrouver ces enfants ». L’éventualité d’une tentative de migration vers les îles Canaries a été évoquée, mais rapidement écartée par l'oncle, qui insiste : « Ce n’était pas une pirogue destinée à l’émigration. Ils étaient simplement partis pêcher, comme ils en ont l’habitude. » Il précise que ces pêcheurs, originaires de Saint-Louis et Kaolack, viennent souvent à Rufisque en période de campagne et travaillent dans la zone située derrière Gorée.
Dans ce contexte de détresse, les familles des disparus appellent les autorités à réagir rapidement. Seule une mobilisation des services compétents pourrait permettre de localiser l’embarcation et de lever l’incertitude qui pèse sur leurs proches. En attendant, l’angoisse grandit, et l’espoir de retrouver ces pêcheurs s’amenuise à mesure que les jours passent.
D'après seneweb, l’angoisse est palpable parmi les familles des disparus. Abdoulaye Diouf, oncle de Mamadou Tine, exprime son désarroi : « Nous sommes très inquiets et demandons aux autorités de tout mettre en œuvre pour retrouver ces enfants ». L’éventualité d’une tentative de migration vers les îles Canaries a été évoquée, mais rapidement écartée par l'oncle, qui insiste : « Ce n’était pas une pirogue destinée à l’émigration. Ils étaient simplement partis pêcher, comme ils en ont l’habitude. » Il précise que ces pêcheurs, originaires de Saint-Louis et Kaolack, viennent souvent à Rufisque en période de campagne et travaillent dans la zone située derrière Gorée.
Dans ce contexte de détresse, les familles des disparus appellent les autorités à réagir rapidement. Seule une mobilisation des services compétents pourrait permettre de localiser l’embarcation et de lever l’incertitude qui pèse sur leurs proches. En attendant, l’angoisse grandit, et l’espoir de retrouver ces pêcheurs s’amenuise à mesure que les jours passent.