Dernier adieu au pape François. Le souverain pontife, décédé lundi à l’âge de 88 ans, a été inhumé ce samedi après-midi dans la basilique Sainte-Marie-Majeure, en plein cœur de Rome, a annoncé le Vatican.
Après la messe solennelle célébrée place Saint-Pierre en présence de dizaines de milliers de fidèles et de nombreux chefs d’État, le cercueil du pape François a été transporté à travers les rues de la Ville éternelle jusqu’à sa dernière demeure. La cérémonie d’inhumation, discrète et empreinte de recueillement, a débuté à 13 heures avant de s’achever trente minutes plus tard.
En présence de plusieurs religieux, de membres de sa famille et de proches collaborateurs, le jésuite argentin a été enterré dans un lieu hautement symbolique. Comme il l’avait exprimé dans son testament, François a choisi de reposer dans cette basilique du Ve siècle, l'une des plus anciennes dédiées à la Vierge Marie. Il rejoint ainsi sept de ses prédécesseurs, dont le dernier avait été inhumé en 1669.
La tombe du pape François, située dans une petite niche près de l’autel dédié à Saint François d’Assise, se distingue par sa simplicité. En conformité avec ses dernières volontés, seule une sobre inscription en latin orne le marbre : « Franciscus ».
Par cette ultime discrétion, François, qui tout au long de son pontificat a prôné l’humilité, la fraternité et l’attention aux plus vulnérables, confirme jusqu'au bout le style qui a marqué son magistère.
« Pas moins de 400 000 personnes » ont assisté samedi aux funérailles du pape François entre les fidèles massés sur la place Saint-Pierre et le long du cortège dans les rues de Rome, a annoncé le ministre italien de l'Intérieur. Ce chiffre comprend « les personnes présentes sur la place Saint-Pierre » pour la messe « et celles présentes le long du parcours » jusqu'à la basilique Sainte Marie Majeure.
Après la messe solennelle célébrée place Saint-Pierre en présence de dizaines de milliers de fidèles et de nombreux chefs d’État, le cercueil du pape François a été transporté à travers les rues de la Ville éternelle jusqu’à sa dernière demeure. La cérémonie d’inhumation, discrète et empreinte de recueillement, a débuté à 13 heures avant de s’achever trente minutes plus tard.
En présence de plusieurs religieux, de membres de sa famille et de proches collaborateurs, le jésuite argentin a été enterré dans un lieu hautement symbolique. Comme il l’avait exprimé dans son testament, François a choisi de reposer dans cette basilique du Ve siècle, l'une des plus anciennes dédiées à la Vierge Marie. Il rejoint ainsi sept de ses prédécesseurs, dont le dernier avait été inhumé en 1669.
La tombe du pape François, située dans une petite niche près de l’autel dédié à Saint François d’Assise, se distingue par sa simplicité. En conformité avec ses dernières volontés, seule une sobre inscription en latin orne le marbre : « Franciscus ».
Par cette ultime discrétion, François, qui tout au long de son pontificat a prôné l’humilité, la fraternité et l’attention aux plus vulnérables, confirme jusqu'au bout le style qui a marqué son magistère.
« Pas moins de 400 000 personnes » ont assisté samedi aux funérailles du pape François entre les fidèles massés sur la place Saint-Pierre et le long du cortège dans les rues de Rome, a annoncé le ministre italien de l'Intérieur. Ce chiffre comprend « les personnes présentes sur la place Saint-Pierre » pour la messe « et celles présentes le long du parcours » jusqu'à la basilique Sainte Marie Majeure.