Le rapport annuel 2023 du département d'État américain sur les pratiques des droits de l'homme dans le monde met en lumière la situation au Sénégal, notamment les violations des droits de l'homme et les défis auxquels le pays est confronté. Le document aborde divers aspects tels que les détentions politiques, les restrictions à la liberté d'expression et aux médias, les atteintes à la liberté de réunion pacifique, ainsi que les questions relatives à l'indépendance de la justice et aux droits des LGBTQ+.
Il souligne particulièrement les mauvais traitements infligés par les forces de sécurité, les conditions carcérales difficiles et la surpopulation carcérale, avec une capacité dépassée de plus de 200%. Le rapport met également en lumière les pressions exercées sur le système judiciaire par l'exécutif, ainsi que les difficultés rencontrées par les magistrats dans l'exercice de leurs fonctions.
En ce qui concerne la liberté d'expression, le rapport note les arrestations de journalistes, les fermetures d'organes de presse et les restrictions sur le contenu médiatique, malgré une certaine influence gouvernementale dans les médias d'État. Il mentionne également les limitations sur l'accès à Internet et l'utilisation des réseaux sociaux lors des manifestations.
Dans l'ensemble, le rapport souligne la nécessité de réformes structurelles pour garantir le respect des droits de l'homme au Sénégal, notamment en ce qui concerne l'indépendance de la justice, la liberté d'expression et le traitement des détenus.
Il souligne particulièrement les mauvais traitements infligés par les forces de sécurité, les conditions carcérales difficiles et la surpopulation carcérale, avec une capacité dépassée de plus de 200%. Le rapport met également en lumière les pressions exercées sur le système judiciaire par l'exécutif, ainsi que les difficultés rencontrées par les magistrats dans l'exercice de leurs fonctions.
En ce qui concerne la liberté d'expression, le rapport note les arrestations de journalistes, les fermetures d'organes de presse et les restrictions sur le contenu médiatique, malgré une certaine influence gouvernementale dans les médias d'État. Il mentionne également les limitations sur l'accès à Internet et l'utilisation des réseaux sociaux lors des manifestations.
Dans l'ensemble, le rapport souligne la nécessité de réformes structurelles pour garantir le respect des droits de l'homme au Sénégal, notamment en ce qui concerne l'indépendance de la justice, la liberté d'expression et le traitement des détenus.