Trois ressortissants américains, condamnés pour leur implication présumée dans une tentative de coup d’État en République démocratique du Congo, ont été évacués vers les États-Unis ce mardi. Marcel Malanga, Benjamin et Taylor ont bénéficié d’une grâce présidentielle accordée par le président Félix Tshisekedi.
L’opération d’évacuation, conduite en étroite collaboration avec l’ambassade des États-Unis à Kinshasa, s’est déroulée dans un climat discret et sous haute sécurité. L’information a été confirmée par Tina Salama, porte-parole de la présidence congolaise, via le réseau social X (anciennement Twitter).
Condamnés pour tentative de déstabilisation des institutions congolaises, les trois hommes avaient d’abord écopé de lourdes peines, converties ensuite en servitude pénale à perpétuité. En vertu d’un accord bilatéral entre Kinshasa et Washington, ils purgeront désormais leur peine sur le sol américain, dans des conditions respectant les standards internationaux en matière de détention.
Cette opération, menée sans incident, illustre la qualité de la coordination entre Kinshasa et Washington. Elle pourrait aussi rouvrir les discussions autour de la gestion des détenus étrangers en RDC, une question aussi sensible que stratégique, tant sur le plan sécuritaire que diplomatique.
L’opération d’évacuation, conduite en étroite collaboration avec l’ambassade des États-Unis à Kinshasa, s’est déroulée dans un climat discret et sous haute sécurité. L’information a été confirmée par Tina Salama, porte-parole de la présidence congolaise, via le réseau social X (anciennement Twitter).
Condamnés pour tentative de déstabilisation des institutions congolaises, les trois hommes avaient d’abord écopé de lourdes peines, converties ensuite en servitude pénale à perpétuité. En vertu d’un accord bilatéral entre Kinshasa et Washington, ils purgeront désormais leur peine sur le sol américain, dans des conditions respectant les standards internationaux en matière de détention.
Cette opération, menée sans incident, illustre la qualité de la coordination entre Kinshasa et Washington. Elle pourrait aussi rouvrir les discussions autour de la gestion des détenus étrangers en RDC, une question aussi sensible que stratégique, tant sur le plan sécuritaire que diplomatique.