Une marche nationale se tiendra ce samedi 30 août à 15 heures, pour réclamer justice en faveur des victimes des violences politiques survenues entre 2021 et 2024. L’événement, autorisé par le préfet, est organisé par un comité citoyen qui appelle à une mobilisation massive.
« La marche pour réclamer justice pour nos martyrs prévue ce samedi à 15h est autorisée par le préfet », a confirmé le comité d’organisation dans un communiqué.
L’initiative vise à honorer la mémoire des personnes décédées au cours de cette période marquée par de fortes tensions politiques. Selon les estimations, près de 90 de personnes ont perdu la vie, victimes des affrontements, des répressions ou de violences liées aux manifestations.
Les organisateurs pointent du doigt le régime de l’ancien président Macky Sall, accusé d’avoir orchestré une politique de répression visant principalement les militants, sympathisants, proches et parents de l’actuel Premier ministre Ousmane Sonko. Ces décès, qualifiés de « martyrs » par les initiateurs de la marche, symbolisent selon eux les dérives d’un système politique marqué par la criminalisation de l’opposition.
La marche de ce samedi se veut à la fois un hommage aux disparus et un cri de justice adressé aux autorités actuelles. Les organisateurs espèrent qu’elle marquera une étape vers la reconnaissance des victimes et l’établissement des responsabilités.
« La marche pour réclamer justice pour nos martyrs prévue ce samedi à 15h est autorisée par le préfet », a confirmé le comité d’organisation dans un communiqué.
L’initiative vise à honorer la mémoire des personnes décédées au cours de cette période marquée par de fortes tensions politiques. Selon les estimations, près de 90 de personnes ont perdu la vie, victimes des affrontements, des répressions ou de violences liées aux manifestations.
Les organisateurs pointent du doigt le régime de l’ancien président Macky Sall, accusé d’avoir orchestré une politique de répression visant principalement les militants, sympathisants, proches et parents de l’actuel Premier ministre Ousmane Sonko. Ces décès, qualifiés de « martyrs » par les initiateurs de la marche, symbolisent selon eux les dérives d’un système politique marqué par la criminalisation de l’opposition.
La marche de ce samedi se veut à la fois un hommage aux disparus et un cri de justice adressé aux autorités actuelles. Les organisateurs espèrent qu’elle marquera une étape vers la reconnaissance des victimes et l’établissement des responsabilités.

