L’ancien ministre demande « Une Recomposition des Savoirs qui est abordée dans le tome 1, de même qu’une Rééducation des Elites (Tome 2). Et ce, sans oublier aucunement la nécessité et l’urgence d’une Réappropriation de nos figures et symboles historiques et épistémiques – notamment, mais non exclusivement – Khadim Rassuul. Un Ahmad Bamba qui constitue la matière et le contenu du Tome 3 : Massalik Al Jinaan ou les Lumières de Mbakke Kajoor…..
Pour lui, il va de soi que notre pays traverse présentement des difficultés évidentes, mais il y a des raisons de penser que la sous-région est également touchée et ébranlée.. Raison pour laquelle il y a lieu, suggère-t-il, de considérer qu’une Recomposition des Savoirs pourrait être une contribution utile à un Réexamen critique, autocritique et prospectif des parcours de nos sociétés du Sénégal et de la sous-région, de l’AOF mais comme de l’ex-Afrique Equatoriale Française ; et depuis ce qu’il est convenu d’appeler les « Indépendances ».
« Mieux, il ne s’agit plus de confondre Intellectuels et Diplômés, mais bien d’en appeler à tous les Chercheurs de vocation, tant les Mufakkir que les Mujaddiid que compte notre pays. Sans oublier aucunement ce qu’il faudrait considérer comme une Académie des Séniors, c’est-à-dire les Intellectuels de Foi et de Conviction, y compris les Kaang Fooré et les Borom Xam Xam des Confréries et des Eglises ou des Religions Monothéistes préislamiques….
Partant, il faut que les Intellectuels – à ne point confondre avec les « Diplômés » ou les « tailleurs constitutionnels » ( à la Ismaïla Madior Fall) prennent leurs responsabilités pour – je cite le Chef d’Etat actuel en date du 4 janvier 2014, à la Salle des Banquets du Palais de la République- « continuer d’instruire sans relâche le procès de notre propre société, afin d’exorciser nos démons, nos maladies, nos lâchetés, nos turpitudes avérées et nos mimétismes coupables »…
« Les choses se précisent à vive allure, dans un contexte d’inondations et de Covid. Mais, là où le bât blesse est que – selon toute vraisemblance -, la Classe politique autant que les Organisations de la Société Civile (OSC) ont chuté dans un Guutë sans précédent qui appelle – sans Balles ni Pierres – une Rééducation urgente des Elites.
Mais – cela va de soi-, une Rééducation des Elites qui ne pourrait s’autoriser que d’une Recomposition des Savoirs susceptible de fonder une Réformation Neddaagu de la Société sénégalaise ainsi qu’une Refondation Djihaadu Nafsique des Institutions de cette République Maçonnique des 4 Communes, du Régime de l’Indigénat et de l’ex-Colonie du Sénégal et dépendances… Le grand et grave problème du Sénégal peut se résumer ainsi : la Doctrine sociale des Loges constitue le lien de la dépendance organique et de la Classe politique et des Organisations dites de la Société civile, dont les élites émergentes de la Société Civile Organique devraient aider le Peuple à s’émanciper. Autrement dit, la Rupture avec les formules d’Application de la Doctrine sociale des Loges constitue l’équation stratégique de la Réformation Neddaagu de la Société et de la Refondation Djihaadu Nafsique des Institutions ne procédant point du Peuple et du Dèmos, mais de l’Agenda caché d’une Maçonnique encagoulée !!! »
senefil.com
Pour lui, il va de soi que notre pays traverse présentement des difficultés évidentes, mais il y a des raisons de penser que la sous-région est également touchée et ébranlée.. Raison pour laquelle il y a lieu, suggère-t-il, de considérer qu’une Recomposition des Savoirs pourrait être une contribution utile à un Réexamen critique, autocritique et prospectif des parcours de nos sociétés du Sénégal et de la sous-région, de l’AOF mais comme de l’ex-Afrique Equatoriale Française ; et depuis ce qu’il est convenu d’appeler les « Indépendances ».
« Mieux, il ne s’agit plus de confondre Intellectuels et Diplômés, mais bien d’en appeler à tous les Chercheurs de vocation, tant les Mufakkir que les Mujaddiid que compte notre pays. Sans oublier aucunement ce qu’il faudrait considérer comme une Académie des Séniors, c’est-à-dire les Intellectuels de Foi et de Conviction, y compris les Kaang Fooré et les Borom Xam Xam des Confréries et des Eglises ou des Religions Monothéistes préislamiques….
Partant, il faut que les Intellectuels – à ne point confondre avec les « Diplômés » ou les « tailleurs constitutionnels » ( à la Ismaïla Madior Fall) prennent leurs responsabilités pour – je cite le Chef d’Etat actuel en date du 4 janvier 2014, à la Salle des Banquets du Palais de la République- « continuer d’instruire sans relâche le procès de notre propre société, afin d’exorciser nos démons, nos maladies, nos lâchetés, nos turpitudes avérées et nos mimétismes coupables »…
« Les choses se précisent à vive allure, dans un contexte d’inondations et de Covid. Mais, là où le bât blesse est que – selon toute vraisemblance -, la Classe politique autant que les Organisations de la Société Civile (OSC) ont chuté dans un Guutë sans précédent qui appelle – sans Balles ni Pierres – une Rééducation urgente des Elites.
Mais – cela va de soi-, une Rééducation des Elites qui ne pourrait s’autoriser que d’une Recomposition des Savoirs susceptible de fonder une Réformation Neddaagu de la Société sénégalaise ainsi qu’une Refondation Djihaadu Nafsique des Institutions de cette République Maçonnique des 4 Communes, du Régime de l’Indigénat et de l’ex-Colonie du Sénégal et dépendances… Le grand et grave problème du Sénégal peut se résumer ainsi : la Doctrine sociale des Loges constitue le lien de la dépendance organique et de la Classe politique et des Organisations dites de la Société civile, dont les élites émergentes de la Société Civile Organique devraient aider le Peuple à s’émanciper. Autrement dit, la Rupture avec les formules d’Application de la Doctrine sociale des Loges constitue l’équation stratégique de la Réformation Neddaagu de la Société et de la Refondation Djihaadu Nafsique des Institutions ne procédant point du Peuple et du Dèmos, mais de l’Agenda caché d’une Maçonnique encagoulée !!! »
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