Le président du parti Pastef/Les Patriotes était hier, jeudi 27 avril 2023, dans la capitale du Fogny (Bignona) . Ousmane Sonko a rencontré la famille du jeune élève en classe de Terminale, Mamadou Korka Ba qui a été tué le 20 mars dernier dans les rues de Bignona lors des dernières manifestations pour présenter ses condoléances.
A 11 h 25, le cortège du leader de Pastef atterrit au domicile de Feu Mamadou Korka Ba qui a tué par balle le 20 mars 23 lors des manifestations politiques, dans les rues de Bignona. Ousmane Sonko est venu présenter pour présenter ses condoléances à la famille du défunt. Il y avait foule dans la cour de la maison des «Ba». Des guides religieux, notamment des imams, des jeunes, des hommes et des femmes et des amis de Mamadou Korka Ba, étaient tous là pour assister à la cérémonie de lecture de Coran qui a était dédiée à la mémoire de Mamadou Korka Ba mais aussi de tous les autres victimes des manifestations politiques de Bignona. Après ses salutations d’usage, «le décès de Mamadou Korka Ba a frappé non seulement Bignona et toute la Casamance naturelle mais, c’est tout le Sénégal qui a été endeuillé en ce jour de 20 mars 2023. Le Sénégal l’a vécu comme si c’était un deuil national à cause de la façon selon laquelle, Mamadou Korka Ba a été lâchement tué par balle dans les rues de Bignona et qui a été tirée par les forces de l’ordre», dira, devant l’assistance, le père de la victime, de sa mère et de leurs proches, Ousmane Sonko.
«Nous avons tous remarqué quand on parle de morts dans des manifestations politiques au Sénégal, c’est à Bignona qu’on tire toujours, avec des armes létales, sur les populations. Et pourtant, de telles manifestations politiques se sont déroulées à Saint-Louis, à Mbacké, à Keur Massar et on ne tue personne dans ces villes. Je dois vous avouer que j’ai eu très mal quand je suis arrivé dans cette maison et que j’ai le père et la mère de Mamadou Korka Ba, tous les deux, en train de verser de chaudes larmes. Nous leur présentons nos sincères condoléances et nous prions pour le repos en paix de l’âme du disparu (Mamadou K. Ba) et qu’Allah SWT l’accueille dans son Paradis éternel. Mamadou Korka Ba est un martyr, un «Chaîd». Certes c’est dur de perdre un fils, un garçon à la fleur de l’âge mais, nous demandons à sa famille d’accepter la volonté divine. A Dieu nous venons, à Dieu nous retournerons tous», a ajouté le président du parti Pastef.
A 11 h 25, le cortège du leader de Pastef atterrit au domicile de Feu Mamadou Korka Ba qui a tué par balle le 20 mars 23 lors des manifestations politiques, dans les rues de Bignona. Ousmane Sonko est venu présenter pour présenter ses condoléances à la famille du défunt. Il y avait foule dans la cour de la maison des «Ba». Des guides religieux, notamment des imams, des jeunes, des hommes et des femmes et des amis de Mamadou Korka Ba, étaient tous là pour assister à la cérémonie de lecture de Coran qui a était dédiée à la mémoire de Mamadou Korka Ba mais aussi de tous les autres victimes des manifestations politiques de Bignona. Après ses salutations d’usage, «le décès de Mamadou Korka Ba a frappé non seulement Bignona et toute la Casamance naturelle mais, c’est tout le Sénégal qui a été endeuillé en ce jour de 20 mars 2023. Le Sénégal l’a vécu comme si c’était un deuil national à cause de la façon selon laquelle, Mamadou Korka Ba a été lâchement tué par balle dans les rues de Bignona et qui a été tirée par les forces de l’ordre», dira, devant l’assistance, le père de la victime, de sa mère et de leurs proches, Ousmane Sonko.
«Nous avons tous remarqué quand on parle de morts dans des manifestations politiques au Sénégal, c’est à Bignona qu’on tire toujours, avec des armes létales, sur les populations. Et pourtant, de telles manifestations politiques se sont déroulées à Saint-Louis, à Mbacké, à Keur Massar et on ne tue personne dans ces villes. Je dois vous avouer que j’ai eu très mal quand je suis arrivé dans cette maison et que j’ai le père et la mère de Mamadou Korka Ba, tous les deux, en train de verser de chaudes larmes. Nous leur présentons nos sincères condoléances et nous prions pour le repos en paix de l’âme du disparu (Mamadou K. Ba) et qu’Allah SWT l’accueille dans son Paradis éternel. Mamadou Korka Ba est un martyr, un «Chaîd». Certes c’est dur de perdre un fils, un garçon à la fleur de l’âge mais, nous demandons à sa famille d’accepter la volonté divine. A Dieu nous venons, à Dieu nous retournerons tous», a ajouté le président du parti Pastef.
La responsabilité du Président Macky Sall, seul responsable de la mort du jeune élève Mamadou Korka Ba
«Nous ne devons jamais avoir peur. Si on a peur, on défie Dieu qui avait dit que Mamadou K. Ba devait rendre l’âme ce jour-là. Mais, il y a ce qu’on appelle la responsabilité et le seul et unique responsable de la mort de tous ces jeunes n’est personne d’autre que Macky Sall qui a envoyé des gens pour qu’ils tirent sur ces jeunes garçons. Jamais dans l’histoire du Sénégal, on a enregistré autant de morts. C’est sous l’ère Macky Sall qu’autant de jeunes ont été tués lâchement dans des manifestations politiques. Il y a moins d’un an que je suis venu ici, à Bignona, pour présenter des condoléances à la famille du jeune Mohamed Diatta. C’est à Bignona qu’on ouvre le feu sur les populations. Bignona, la Casamance et le Sénégal n’accepteront plus ça. Mieux, nous disons, plus jamais l’utilisation d’armes à Bignona par les forces de défense et de sécurité. L’Etat du Sénégal sait bel et bien qui a tué Mamadou K. Ba. Nous disons à Macky Sall plus jamais ça car, il n’est pas plus important que le père de Mamadou K. Ba. Son fils Amadou Ba qui déambule un peu partout, et même à l’extérieur du pays avec l’argent du contribuable n’est pas plus important que Mamadou K. Ba et sa femme Maréme Sall Faye n’est pas également plus importante que la mère de Mamadou K. Ba. Ce sont autant de choses qui font mal que j’ai instauré le «Gatsa-Gasta». La persécution doit, en effet, avoir des limites dans notre pays. Nous disons à Macky Sall que nous ne plus d’autres Mamadou K. Ba au Sénégal parce que tous les jeunes de notre Nation ont les mêmes droit que les fils de Macky Sall. C’est pour vous dire que nous avons atteint la ligne rouge au Sénégal et le pire peut arriver à tout moment», a livré publiquement Ousmane Sonko.
«Nous ne devons jamais avoir peur. Si on a peur, on défie Dieu qui avait dit que Mamadou K. Ba devait rendre l’âme ce jour-là. Mais, il y a ce qu’on appelle la responsabilité et le seul et unique responsable de la mort de tous ces jeunes n’est personne d’autre que Macky Sall qui a envoyé des gens pour qu’ils tirent sur ces jeunes garçons. Jamais dans l’histoire du Sénégal, on a enregistré autant de morts. C’est sous l’ère Macky Sall qu’autant de jeunes ont été tués lâchement dans des manifestations politiques. Il y a moins d’un an que je suis venu ici, à Bignona, pour présenter des condoléances à la famille du jeune Mohamed Diatta. C’est à Bignona qu’on ouvre le feu sur les populations. Bignona, la Casamance et le Sénégal n’accepteront plus ça. Mieux, nous disons, plus jamais l’utilisation d’armes à Bignona par les forces de défense et de sécurité. L’Etat du Sénégal sait bel et bien qui a tué Mamadou K. Ba. Nous disons à Macky Sall plus jamais ça car, il n’est pas plus important que le père de Mamadou K. Ba. Son fils Amadou Ba qui déambule un peu partout, et même à l’extérieur du pays avec l’argent du contribuable n’est pas plus important que Mamadou K. Ba et sa femme Maréme Sall Faye n’est pas également plus importante que la mère de Mamadou K. Ba. Ce sont autant de choses qui font mal que j’ai instauré le «Gatsa-Gasta». La persécution doit, en effet, avoir des limites dans notre pays. Nous disons à Macky Sall que nous ne plus d’autres Mamadou K. Ba au Sénégal parce que tous les jeunes de notre Nation ont les mêmes droit que les fils de Macky Sall. C’est pour vous dire que nous avons atteint la ligne rouge au Sénégal et le pire peut arriver à tout moment», a livré publiquement Ousmane Sonko.
